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PARALLELE
DE E ARC HI TEC Τ VR E
ANTIQVE
ET DE LA MODERNE
CONTENANT LES PROFILS BES FLVS BEAVX EDIFICES
DE ROSTE
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COMPARES AVEC LES DIX PRINCIPAVX AVTHEVRS
Qui ont écrit des cinq 0rares :
■S CAVO IR,
PALLADIO ET SCAMOZZI ) 3ERLIO ET VIGNOLE, D.BARBARO ET CATANE Ο , L .Β . ALBERTI ET VIOLA, BVLLANT ET DE LORME ·
SEC ONDE EDITION
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lAuqtnaitct deJ ij^ieo es tduoç de chacruc Ororc,
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t ci vpTLoy e- ïlotrçJj]am^ . ' JeatcetlosepJiBarijoicjr&res rue J blacç/usjt rrroche IwjïjrUauny J'ï'B&nairtr aitcc Owo^riej' ■ |
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MarcdLuj.
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lauo lesArchiUctes iïicriernes, qui ont parle de ce
ψτοβΐ/ D oruiue, et qui L· proposent pour re^ leniont ρ aâ: · Jiizuu Leiiute c^mpai^timent des membre** du cuapzteau, nu Leu luzuteur de La Frise:je Leu troiuie beaucoup plus pe- tite que L& oLes^-ein quid nous en ont uxissé . VUTUMC ensonqusitrierne leur e , cAapitre troisième,
diuise Le, cdiapiteau en trois, pour en donner vue aiiqorqe- rirc, ouj œw exdlier;iaidre an quart de rond ance ses an— neotuoc, et La dernierù au tailloir· mais cet Sduteirr est suspect,etnestioas confirme cl /npratiqiLe des aruienâTtl. ses cœuttnuroraino, comme on lepeut voir dezns ce profil. On cLoit rcmai^quer la, Saillie eectrasordincde la csrurone
de la Ccrrnielie,et le talait que lArcnueete a cùffie auocooid? te*/, qui sont umnenxe lafiuxs de desjoiis.ié en jouet expendant vser attec discretwn et aaoir eqardauoc lieux
e/uisoizt dans im azr izSre cm rum . yeicu Les mesures partismueres de ce tbeecb^e de MarœlUu < ~La^ Tige Seule de Ici, Cederteneη de lonqueur sept lois sera
diamètre, cest cidh~e quaterrze madûtes, owaclo enhuiteé. Laheuitcza^ die dzapiteau a go. uiirintes que font un mera- L (tj^cÂiù^cuie η un neonule . Jbn Frise aiccc son listeau, a tir est cette pdcite /rande que m
LaSepare deuieclu Corniche, a im rrierdule et dermi, cest achre quecrante cmq rrumitejt - tua CcrrnicAe η un merduL· et un oziar t qui font 3 7 · nii^
itutes et clernie. La qiwniité de ces nrinzit&i réduite en ime senne to tede se morue at>6^rriimites f air 2 S. rnerdules f-. Jj'eiitaMernent, qui est laroliùraue Frise et Ccrrniche, doit azeertr une quertrieme partie de L· Calonne, et con- tient îisL.rnuiMtes i qui s ont χ iiurtkdes et Λ . turieue n'aprauue ρas les Ώ enticules à cet ordre cemze estant ruetra-ellernent aitae/iez η lOrdreIonique. |
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E F A C E
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'JEftime qu'on a toujours faite du Livre du parallele de
■Monfieur- de Chambrày, me fait croire que je ne pou- vois rendre un meilleur office au Public , que de le luy prefenter de -nouveau. A peine parut-il au jour la pre- miere fois, qu'on en vendit tous les exemplaires*. &c de- puis plus de trente ans qu'on attend une feconde édition, la rareté du Livre en a rendu le prix exceilïf. Cet Au- teur ne s'efloit pas contenté de réduire toutes les façons de mefurer } dont la différence eft oie tres-embarafTantc à la feule diviiîon du Module en trente parties ,· il a ajouté des remarques judi- • cieufeS furie deifein de chaque Maiilre, dont ilnous fait découvrir les beaurezou
les défauts, &c il eft prefque le premier quia fait connoitre en France cette grandeur de maniere , qui donne aux principaux membresde chaque Ordre peu de parties? mais grandes ôc d'un grand relief, afin que l'œil ne voyant rien de petit» l'ima- gination en fût plus vivement touchée. Nous donnerons à ce difeours un autre Ordre que ecluy qu'il luy a donné , fans nous écarter de fes fentimens , dont nous conferverons même l'expreilîon le plus fldellement qu'il fe pourra. Ce qu'on appelle Ordre dans Γ Architecture, eft une Colonne avec fa Bafe & fon
Chapiteau, chargée d'une Architrave, Frife & Corniche? on en compte ordinaire- nient de cinq fortes ■ le Tofcan ,. le Dorique , l'Ionique ., le Corinthien , Se le Compofite : mais Monfieur de Chambrày s'eilant fait une loy de remonter au- tant qu'il pouvoit à la premiere origine de ces Ordres, pour découvrir toute la beauté qu'ils avoient auparavant qu'ils euifent paifé chez les étrangers , a retran- ché les deuxOrdres Latins, le Tofcan & le Compofite d'avec les trois Ordres Grecs, Dorique , Ionique , & Corinthien , n'y ayant que trois manières de bâtir, la fo- lide , la moyenne , &C la delicate , qui font parfaitement exprimées en ces trois Ordres, il n'éft plus neceifaire d'en admettre d'autres, qui eftant étrangers à leur égard, fcmblent en quelque façon d'une autre eipece, & que les Anciens n'ont jamais mêlez enfemble. Le Tofcan ne fert qu'aux maifons de Campagne : fa gronderete la banni des
Villes , des Temples , & des Palais : & le Comporte citant pris des autres Or- dres, & n'ayant ni mefures, ni principes, ni proprietez particulières , ne doit pas faire un Ordre feparé. Scamozzi a remarqué judicieufement , que le Chapiteau # Compofite , par lequel feul cet Ordre diffère du Corinthien , eft d'une compofi-
tion plus maffîve δ£ moins élégante : ce quec'eft faire porter le fort, par le foible l, que de le mettre fur le Corinthien. Il femble même que cet Ordre eft la caufe de toute là coufuiion qui s'eft introduite dans TArchiteciure , parce que bien loin de fuivre les Règles de l'Ordre Romain, on s'eft emporté à des nouveautez que l'art defapprouve. Que fi quelqu'un vouloit prendre îa liberté d'inventer une pratique nouvelle
contre les principes de l'Architeci:ure antique , il doit fçavoir qu'en cette occafion il a befoin de toute fa prudence pour en faire découvrir aiférnent la raifon v & il y a ,
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PREFACE,
ctok penfcr à la retenue des Anciens, qui fe font contentez de changer le Chapi- teau, dont ils ont fait cent comportions propres à de certains fujets, hors del quels il n'eft pas maintenant permis de s'en fervir. On doit toujours mettre cet Ordre feul à l'exemple de ce fameux Arc de Triomphe que le Sénat érigea à Titus Vef- pafian., après la prife de lerufaiem : ôc Sebaftien Serlio, Ôc Philibert de Lorme fc font trompez en nous donnant un deifein tiré du Coiifée pour modelle delOrdre Compofite , puis que ce font deux Corinthiens , fuivant la remarque de Scamozzi. il n'y a donc que les trois Ordres fui vans qui renferment en eux toute la beauté
Ôc tout le neceifaire de l'Architecture. Le Dorique nous représentant la folidité 3 tft employé dans les grands édifices,
comme aux Portes de Ville, aux Places publiques, au dehors des Temples, Ôc à de femblables lieux ; où la délicâteiTe des ornemens eft inutile ôc peu convenable. Il ferviti au rapport de Vitruve, au fuperbe Temple que Dorus, ion premier in- venteur fit bâtir dans Argos à la Deeife Junon, ôc ce fut à celuy qu'on éleva dans Doîos au dieu Apollon qu'on mit les premier s Triglifes,, pour reprefenter la Lire, . dont ce Dieu avoit efté l'inventeur. Les Colonnes de cet Ordre ont cela de remarquable, qu'on les voit fans Bafes
dans les plus beaux ouvrages de l'Antiquité 5 comme au Théâtre de Marcellus à Rome, au Théâtre deVincenze, ôc dans un Arc de Triomphe qui eft à Verone. Et Vitruve ayant traité de cet Ordre ici plus exactement que d'aucun autre , ne parle point de fa Bafe, quoy qu'il ait décrit aftez au long les mefures de l'Ionique cVdei'Attiquc pour le Corinthien, n'ayant pas même oublié celle du Tofcan. Cet Auteur au premier Chapitre de fon quatrième Livre en dit une rsifon à l'occafion dellonique , qui fut compofé fur le modelle d'une beauté féminine, y appropriant toutes les parties . la Volute à la torme de leurs coiffures &C aux trèfles de leurs cheveux. La tige de la Colonne a leur taille dégagée, les Cannelures aux plis de leurs robes, ôc la Bafe à leurs chauiîures,· mais comparant le Dorique à un homme fort comme à un Hercule, quia toujours efté reprefenté les pieds nuds , on peut juger que les Bafes neconviennent point à cet Ordre. Cette Colonne Dorique eftant plus forte que les autres, doit avoir un Entable-
ment plus maifif ôc plus haut: il eft ordinairement d'une quatrième partiedela Co- lonne j Ôc dans les autres Ordres il n'a fouvent qu'un cinquième ôc quelquefois moins. La Corniche ne veut eftre ornée d'aucuns feuillages, ni d'autres femblables délicatèf- &$ , ôc fi on luy donne des .Modulons, ils doivent eftre quarrez ôc fort fimples. La Frife a fon ornement réglé, qui font des Triglifes, le compartiment defquels oblige à une fujettion très-grande , ôc qui eftoit autrefois fi embaraflante, que les plus grands Maîtres avoientde la peine à s'en démêler : mais Vitruve y a trouvé des moyens aifez commodes, qu'on pourra voir en fon quatrième Livre Chapitre III. Il fuffira cependant que je dife ici, que toute la fujettion confifte à faire , que le Tri- glifefoit toujours precifementau droit du milieu de la Colonnefur laquelle ilferen- contrè, & que les Métopes, c'eft à dire les efpaces d'entre les Triglifes, foîerrt par- faitement quarré s.· car cela eft tellement eifentiel à l'Ordre , qu'on ne doit jarrjais s'en difpenfcr. Ce qui en rend l'exécution difficile , vient de la diftnbution des én- tre-colonneSj qui ont auiîi leurs diftances régulières ôc déterminées, lefquellesnequa- drent pas toutes juftement avec celle des Triglifes? voyez le fécond Chapitre dutroi- fiéme Livre de Vitruve commenté par Barbaro. |
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PREFACE.
L'Architrave a auiïi fon ornement particulier , qui font de certaines gouttcspcn-·
dantes deifous les Triglifes , lefquelles femblent en quelque façon y eftre attachées, & ne faire qu'une même chofe , parce qu'on ne voit jamais les uns fans les antres. Tout le corps de l'Architrave doit paroître fort Ôc bien iolide pour cet effet : je ne le voudrois que d'une face toute pleine , de peur quii ne fût trop foible efïant parcage en deux: cependant celaeil de peu de confequence , pourvu qu'il ne palle pas jufques à trois, auquel cas la faute feroit notable. On doit eftre averti que la hauteur de la Colonne n'eftant point limitée à qua-
torze, quinze, ou feize Modules, on ne peut aufïï limiter la hauteur de l'Entable- ment , qui doit toujours avoir'la quatrième partie de la hauteur. Toute cette dif- férence d'un Entablement à l'autre ne fe trouve que dans la Corniche , parce quela Frife 5c l'Architrave ont leurs mefures déterminées & precifes ,· lun a un mod. l'autre a un mod. * fans avoir égard à la diverfe hauteur des Colonnes^ ainfi la Corniche devant fupplécr ce qui manque à la Frife de à l'Architrave pour arriver à • la^hauteur de la quatrième partie de la Colonne, il eft évident que la Corniche d'un profil ne peut fervir à un autre ,· quoyque du même Ordre s fi la hauteur des Co- lonnes n'eft égale en l'un ou en l'autre, cette remarque doit fervir à nous faire juger de la bonté des difîerens profils, que les Autheurs modernes nous ont laiffezde cet Ordre. Pour connokre aifement la hauteur de toute la Colonne par celle de l'Entable-
ment, il faut faire une multiplication conforme a la proportion qu'il doit avoir avec la Colonne, fuivant l'Ordre .qu'il reprefente. S'il eil d'un quart comme dans ce Do- rique j il le faut multiplier par quatre: ôefi c'eii d'un cinquième, comme nous ver- rons en quelques exemples Corinthiens , il le faut multiplier par cinq , ck le total fera juftement la hauteur de la colonne 3 ou bien le profil ne fera pas régulier. L'Ordre Ionique fut inventé par les Ioniens, qui ayant coniideré que la figure
4?un homme robufte avoit eftè le modelle fur lequel les Doriens avoient formé leur Ordre, choifirent une proportion plus élégante , plus belle, ôc moins folide. Cet ordre Ionique degenera bien-tôt, on vit naîcre l'Ordre Cariatide , dans lequel on reprefenta des femmes, dont la delicate/Tene répondoitpoint à lapefanteurdu poids dont on les chargeoit. Ce premier défaut a donné lieu à toutes les extravagances, dont les Gots ont gâté cet art, de nos Eglifes furent remplies de certains Mutules figurez fer vans de Confoles foùtenus par des figures Chimériques , ou bien on ν admit des figures d'Anges du de Saints portant des Entablemens , contre l'intention de l'Hiftoire, comme nous verrons dans la fuite. L'Ordre Corinthien prit fa naiflance à Corinthe vijle de la Grece. Nous dirons
dans la fuite comment Callimachus inventa fon Chapiteau, & nous verrons les rai- ions que le Pere Villalpand a avancées contre l'autorité de Vitruve qui nous en rap- porte l'Hiftoire. Cet Ordre cil d'une compofitioii plus délicate que tous les autres, & on le peut enrichir ds beaucoup d'ûrnemens, quand on l'employé dans les Arcs de Triomphes, Palais des Rois, Baiiliques, Thermes , &: autres lieux , où la magni- ficence doit paroître. Toute la différence quife trouve en ces difFerens Ordres confìtte en la propor-
tion de leurs parties Se en la figure de leurs Chapiteaux : car les ornemens particu- liers qu'on leur donneΛ comme les Triglifes au Dorique, les Deoticuîesà l'Ionique^ |
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Ρ■ R Ε F A; C E.
ô£ les Modulons au Corinthien ne font pas d'une neceffiti indifpenfable j les An«
ciens les ont ótez félon l'occafion , ou en ont inventé de nouveaux, principalement dans l'Ordre Corinthien; cardans le Dorique ilnefaut feulement que fesproportions (impies 5 fa folidite repugne aux ornemens délicats: Ôc dans l'Ionique , qui tient le milieu entre les deux Ordres precedens, il faut que Γ Architecte regie fon genie fur la qualité du bâtiment. Nous avons déjà dit qu'il falloir divifer en peu de parties les principaux mem-
bres des Ordres, & qu'on leur dévoie donner un grand relief, afin quel'œilen fût plus vivement touché. Une Corniche paroîtra toujours fiere & grande,quand la Dou- ane du couronnement, le Larmier, les Modulons "ou Denticules auront beau- coup de grandeur ôc beaucoup de Saillie, ôc qu'on n'y remarquera pas cette con- fuûon ordinaire de Quarts de rond, de Liteaux , d'&ilragales, Ôc d'autres petites Parties , qui n'ont aucun bon effet dans les grands Ouvrages, ôc qui altèrent les principaux membres. On examinera dans la fuite dece recueil, en quoy chaque Maiilre a fait confifter la beauté : car les uns ont eftimé riche ôc délicat, ce que · les autres ont nommé petit &c confus : &c ce qui nous femble de grande maniere, ceux-là le trouvent greffier ôc lourd : ce qui pourroit eftre vray, Ci l'on excedoit les termes de la proportion , ôc qu'on panchât trop vers l'une ou l'autre des extre- mitez. Pour faire voir aifément là différence qu'on trouve entre les proportions des
meilleurs Maiftrcs quifont dans ce recueil, ôc celles que les Anciens avoient don- nées à leurs Ordres , on a réduit les unes & les autres fur le même Module, qui eft le demy diamètre de la Colonne divifé en 30» Minutes, dont 60. font le diamè- tre entier. On ne s'eft fervi que des Minutes, fans ufer des noms de Module, de Diamètre9 de Tiers, de Quarts, ni d'autres femblables proportions, quiauroient embarraifé les deiTeins de trop d'écriture , Ôc Ton a toujours commencé à mefu- rer les Saillies de chaque Profil depuis la ligne centrale de la Colonne, pour avoir en même temps avec la Modenature desmembres, la pofition Ôcle jufte alignement de Ces Parties. On ne blâmera pas la liberté qu'on s'eft donnée d'abréger plufieurs chofes que
Monfieur de Chambray ayoic dires dans des termes trop étendus , quand onfçau- ra qu'on n'a rien oublié de tout ce qui peut eftre utile, ôc que ce n'a point eiîé une vaine paifion d'écrire, mais l'envie feule de diminuer le prix de ce Livre, en évitant les frais de i'impreiiion. On a crû même que c'eftoit obliger le Public, que deluy donner le parallele des meilleurs Auteurs fur les Piedeftaux de chaque Ordre ..dont on a fait voir toutes les différences , en les reduifant fur un même Module. Je n'exa- mine point les raifons que Monfieur de Chambray avoit eues pour s'en exempter , il fuffic de dire , qu'on en voit prefque dans tous les Ouvrages de i'ancienneR^me, que Vitruve nous en a parlé fous le nom de Stylobâtes, ôc que les Autheurs, dont Monfieur de Chambray fait le parallele , nous en ont donnédifferensProfils,· ileft des perfonnes., dont la delicateffe ne les peut fouffnr, ôc qui difent que la Corni- che des Piedeftaux Ôc la Bafe des Colonnes, fontenfembleuneconfufion quiblef- fe les yeux : mais ce fentiment eft combattu par une raifon auiil forte , l'ufage les a introduits de tout temps > ôc Ton m'avouera toujours que la necefïité les doitad- mettre dans ces grands Edifices , oli la grande Saillie de la Corniche du fécond Ordre
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Ρ R Ε F A G E."
Ordre cachcroit la Bafe de la Colonne du troifiéme , ou s'uniiîant fune avec Fau^ tre feroit une confufion pareille à celle dont on nous reprend. Ajoutez à cela que dans noftre maniere de bâtir, ils fervent à la hauteur del'appuy de nos Croifées3 que Ton règle fur leur hauteur les jours que l'on donne aux caves &c aux appartenons bas > & que f Architecte voyant les différences qui ie trouvent entre chaque Au* cheur en pourra faire un choix plus judicieux, iugemem en gmerâl de tous les Au the un rapporte^
en ce Recueil
ANdrè Palladio eft fans conteftation le premier des Architectes modernes. 11
nous a laiifé un excellent recueil de Plans ôc de Profils antiques de toutes fortes de bâtimens, deifeignez d'une maniere excellente , ôc mefurez exactement. Vincent Scamozzi ne deifeignoit pas avec tantdedélicatefle , & n'executoit pasii
bien. Sa maniere eft feiche 3 fes ornemens font mal choifis , fon goût eft mauvais,, néanmoins il eft fort régulier dans les proportions. Sebaftien Serlio Ôc Jacques Barozzio Vignole tiennent le fécond rang, Le pre*
mier femble avoir travaillé pour les Mâiftres, 6c l'autre pour les jeunes gens,· enfin il feroit à fouhaiter que le Livre de Serlio fût deifeigné comme celuy de Vignole ., ou que Vignole eût fait âcs études &: des recherches auflî excellentes queScrÎio. Daniel Barbaro Patriarche d'Aquilée a fait voir par fcs doctes Commentaires
l'habileté qu'il avoit. Pierre Cataneo qui luy fert d'Ajoint t n'a pas cependant un mérite égal à celuy de ce Prélat» Leon Baptifte Alberti eft le plus ancien ôc le plus habile en l'Art de bâtir de tous
les Modernes. Les Profils qu'il nous a laiifez dans fon fçavant volume \> ne font pas correctement deifeignez, àc je les ay reparez : en forte qu'eftant mis en ceuvres ils peuvent faire un tres-bon effet. Viola eft le plus nouveau de tous: il s'eft occupé dans fon Livre à parler d'au*
très chofes que de fon principal fu jet. La méthode dont il fe fert en fes partitions^ eft groiîiere ck mechanique. Ses deffeins font aufïî mal ordonnez que ceux d'Al- berti, quoy qu'il fui ve une maniere beaucoup plus élégante. On a mis Philibert de Lorme èc Jean Bullant les derniers, parce qu'ils fontFran*
çois, quoy qu'ils puiifent entrer en concurrence avec trois ou quatre. |
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^Tiiti^ projiL ~ivre d&
Thermeswde¿^^Àéáéí^Éßè7ºô&
LÌ ñôïôúß £jt dame COirmojztzorOsd&r-t reaiuiere, et seJ oi^ne*
/ . ■ j // /7. . , & v/-. j j ' ■ é j
aeirt ðïôïý /áí ammdaates .jL/b saalce de- La coðáï/ôå, eat hernie '
ùôø nmiruire aito ixvpt'eeed^îte^el sa proidortìarv e?v ae&t&ralrte
Lut/ e^t pas coizPorrae^ CeUe^ d^jf&Terice nz^Jiu^Jidneî^ûii^uZy
caLoririe de, celiisip cap euLott hiM& dieiraetres f cest adare jretète,
rrurdiiles; ïìéëßá Le^izLairleypzeict de aiiaù-e, niadidesdira Le quart
O.tl doit ouseTrvwr cpue/za 'c-edde j^artUzorL des frou în&mhTvj
cLc urttalri^rri^ritf Lsajïiale-b aride) auvi^oTte Le chapiteau des
liaalzjip/ies'riaitpajFtze cL· La cornicLze/quoôááñéÀ£ dans L·
dessein dir Tiiaaane de JSdat^celliis' Jac ULipe^dad, entrer*
dans- LaoTts'c; arha da ùroicii^r çýôá TrurdiLie et deniea de
hajataicrf et de renadae j^iar ce rnoiieav Les rrietajzea aiioL-
j~ees . Ce qua est daarie nxcessttejfzaliapeaisaM .
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jEleiyinîwix Pejrsj^eotiiœy durh autr&pro -
trej^nciôîiy, et dwz& ùrarid& fnû7zœr& qiiù s& vtojîs au^lbaize, priLs d&RyirU^ Ll& y rond e<st cuirne TnmueTre ^{uejtueiije hCj-urjTrainrd^
A ψ £Lpeu; d& rriarwr^fyetjif sont ~tozw nrartdj, LdTi^e :ab Lw aHahftes■pûJ&JîmmeMmb <sur une τηατοΐι&,ατιν Ιιηψ ^ert de diode, leuccdùririje eu qturuce irwrdulej· de 'hauteur, eu Lt7T±aj7z&7TierLL· eri;airolt eu deuae twris.
Ole doeb admirer dans ε&ττηφ1> 1er rri&diuarij, giu jzûjsj- njjloirU? J-Z17- les Tri^h^dièr, '&< le\ir^/^izeurt œirirnedgjTie ejjzece decndwiteetzioe,ont, z//z wêfc Wier2^dlezuz^fquL'eJi^ éricare heaïecçriŒ? 'ouametite,par le/ rozons azùJopfufe de ÎeLCûuJV72ixe; dont lajqrariéL· JatlÈê-mrui lòuiu-aae ricréde |
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£t jTtaTjertii^ziJD \
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RilJaAio et, ^camosci siu~lórdreDoriqu&
Ce pvoriL eie lJaLLa,dj,v cv bven &U, rajsjjcrrt a, ceMvu/
.cLâd''ÔÉô&ççõêÔ Ü&¿éïÃÁÝÁéáÀæ,,éß cLonne, lç 77 ôá édites zl Leu caiprirh^ szuzs base, et azzeo Izz ï eus e, u leedeuty eie sT'ajzce,ie£qÌÀzLq'itfjff£rbs izzénzede dMCLZ^pt^lajijozztz, sizezziee soi æ wzeeUstad etd ere doit ano ir ctzazfezjt et ir? æ tzers . Othj^etLt zwu^ eusti/xotejzi^eTZt toutes les ouétós irtesures sza^ ce pi^odd . Sceururx&Ldo77jze zymo· cesa, åæôßïôôôæå,,y/rrL&ttajzt ul
ntenze base, aite L· PalLiclto ; jl erme, ses Tores ale dtzlllles trop cteLsuites rrozzi" cdt ordre, et >L se sert zie td ccuwLelzuy. Ioizzazie ezudzezz de:'celle zizze est enmctc& zizzlsoria/iie, sorz aztcuxi^rrierzt zizidfu uiesz azze celzzij/ eie Palletclto esii ztt/e^e cerTZTorrrze a izertre second ijzcrdell^.ll ev Jezu^nzerzt zid&ozdz ui% peut cazzet erztre Izz, ezriojzrze et le qzieerb de roTidleri profiljjru* 37ZLJ7VJ· &taecAara&dej&fûrneme77^
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C^J&rlio et t/ìanoL· (Jm? ί Orare i^yartam
(dl/erUo donne- qucitorz>& riiadilos cu su cowiines, aueclcl /rase er le
cÂupiteaic : lochauteza-· d& ienazirLeinenù ertele u~ois modules etun peiu plus de/deuœ tiers; d& sor tequdpasse/rwtaJrLeirierit eùcoritr& soiiordirìf awd& Ledit cjiLOJ^bdedet cefloime, qzde^tluplus qrand&propartùnvque les anciens luq ayenrdomie&.œuececes irte fruite, ifiur. l& quel il s'esCrea leif i^soit cvrrσnψΊJJ,oùb^e7^q^tewρa^dantdz
Iweedoiviey d niid vendu^que son pic sans leeluzpriteauy est d&iq,modules; cuji.su cid/ozctaiw v7vniodule jroi/r locheut-Ceitr dio chapiteau, toxite lei ccrlorme ervazuvil/quinte, eùpai* ce rnmfetvlentaòiemelseroilproportiâ. c=deyprofila de> l/iqTZoies est tiro du/ tkeajtre>de/ fjriareèllus. mais les mt~ suites quidnous'eriaoTcney sombeaucoup altérées, principzde?neìit7 deuw IwcarrulckescC dons l& chapiteaw. l& des*seiiv qu& j'ert au but, jrour tferuir d&rrurdcdd, C7Vrercvirotr Iwirerite. s^ ccdoiijue cv ió^ rnerdules; euÌcrUnJruy7nenù quatre, qiti esù jus terrieruy la/ qzuxtrìcTri&partic/dù la/ coloruue. |
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Daniel Ëmjbgj^o et Pierre,
Catane ï sia-lOrclreDojncjim . Ë^ùñ7^ïñóôÜï77,> qzLeyl^ajiiel Ëarbaj^o doiz7ze, a; jgl áôßïôéç^
XLLtéo JÛ7L &TiìH.uÌa7i£jzù/ ej-t Ìéj7zatai7t& cu cell^,de, S&tlo; &DCC&U'te./ï'lllL a, iitls ciÌcl71.j la, éß}%e:tDø'£,... aji^utatre,.de hv 'tòte TJ7L- DOTlcLél^fOOlU' ðÀ/Ð~ÏU£T qLL& l^S 07~7Zey77ZeJZJ CLÛL-
iieizt teita^ d^ la, naiza^ dtJ Orcœej, ou, ù7À, lej appLaue,/
et a/Lie, celuiJ/ et// estajub dzrhe ej-pe^e-do^te■ o7zpeut leiirt- elur ante 'occaj-iorL· de iiypuzéej dù&rnriej, de, Mailles, .et dazifrej'/3ôõ,ßðáçâôõ' d& ûUé^rçy. . -Le, deJijeyUT, aie, Catcuveo rite- de7jia.Lt erv ceauje, la, dotLCuz&dil
liant aie le,7i£/zldey77ij^7it ejt íçñ&Àá cjranal&, aite,, lau wpoiéc iure è7,õ/áõÉÉõ£> du, tczilloa^ dze cIiojj tteeai, ejt tr&p petzte^et q/ue ul oaje atrop deJai/Ae par le, tars á^éôôýá^ . |
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Lì Baptiste zibetti;,et Joseph;
Ë/ialtt shtr lûrdre Ó)ïôéçõÀ€ Qiwy/Mxe L.JjaptixSte^iloeitL 'épjp auStr^jztlj ce
idrofil en qu^liaue*? Fi^eLqineixs euitinues, te, nei ÷ piMxf eL70j0roziXL£F1' le, c liaiJitéaix, que meLenToie ae., réxfte eJ&t*07^t a on, et aime, exratide
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.et 7laute* mnxiiej
me, eoceni:, |
e,; Il a mei ne, ï a r&ppàirt a notice troisrn *
tLazLe ■ jbclt·■ très niaatLloizj, aoiitlaj-auxie |
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it vu õáô÷ eJjet, u4itJiîtifone, etùbfrixSe jantreguLei^
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\et.. L^7it^t7t£X7Xëf7t^feap-isi jf^q?r&portza7X excacte, eiu^c
ia, coîoixixe,;'catrït a, òááߺ¾, ?rutaxxlej ae laaziizza^, et Lu œ &
Iû7zne eix a jeuce. tes in^denatixrej oie La ï eue, j ont tant
bellea.OnJC'.]?^ ae viam a La
jjaxce de celuu d^dlaej^a, le j?7~o;ril en est alaesc eari^ect,
.ep est q/Luzji le, ixi^Jmxl q/ixe, etiujii' que ledila a lo .
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. deiforme sur\lOvdreDoriqii&
CJn SL rtaiLLù ance, ÉzSi^ d& lei peaze, L· j?tûtiI de-PhiAoert j
0£s 1/3γ77ι& ατ. Lestât azaLporott^uxj/.Qrv-ρ&ujb 'η/οττ d^côm>\ bien, zi, •j-'ej't eA?z0zp ύζ& Vztruiié φάτζ L· parauéL·, ÛU&- .j^L^a^f-çLue^ L& se^tL g/iiipJuuiàjtt bri?, 'ïWi&ori ae> cet ari^ter^^ut/z&ur, azt- aomz& uljotl eiziaucc-
m&n£ trozJ TTzodiUej* etaeiTziy -α& h/ULÈ&UFf zjzzl forzò Lcuazùct,^ 'ir-iétirié,> jjórti& d& l/p cmDizzx&jXL ur qztell& Vilruzie, Lziu^& tr&j^oiL àiJiaioTrécé zna^ruuleJ' .·*
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Se^tdture brej -siizti^
auœ enuiroru de ThrcLCLiic acot&
du armici chatWL izrant ôê÷Ãü\MapL·^
s'iqoriû', fait ôæöæã øéæ& c<& néftûii^i^a^· ta, coutiaïz& cMe^
tùf ^ditci^rw al& dûTtri&^ dL&s dzljcs &çgjbûAir£/ ,' -Lé jDia/7i£Î7~e a^ czj·■■'åóßóé-õç&ô &Jt-'eruujj^orL <& cL&lwo pa/jncj*., lijitaIriX4Ttëri£ -Sut kfrv*■ cintfàutirie* a&'ùÛrcÎre / , ; #\ ,, t . j■■ r j
erdzer-f czj-t á,áá¾, urie øõáÀ7º.€Àç& partie m ta cawnnc,
ßá. quku& riazia'-rf. qa& ùpô aUain&t/^tLJ' a& /lazitZ/tu^ . |
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L/itoy que cet orch^o cut paroy cJio-l lcj ■Crecjp aana ba/esj
otl tuo nocct cèj? erudzivb caizoLurazcr Lcl bdtrto quai z, s est damma Ì/ø ore axuozcta^ iSrie;c£ u- oro u qua re ne, cu? et ñ as être Shtart escicute ad quelques uns cUj ancurij, quanne
. serofeparo qucuquerozsf qujzncu luraia-07i,da^^^c^^^a^e,ou
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ta œzitzune jwlls u attuaeiub »
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Lfe,qzce 7U77Lf disons o/os baser d^e cétorebre sedsntautsL·
enienojrc des pieefesiu,ucr,, Los doacsc prorzL· quoLeUL atuwLo rwiùf àdwiirtos soirt toLLtafa.it beauao an doit irbamer ita |
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as ta, Cinzaise et c/jxri^ la
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base de sonñtedèaisub.ces odùso maistr&j onù obserzio,
ne, atorâttèjr abdcuTiaiso dhopiedes tau, de cliaquo ordre, que |
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La, mOitze do La laaittour aio teca '
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_J)Oujs couac de ÏerLier et de U/öéáßï,éÀ÷ soizteb
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ticizLteLir eaccesszue . ï7 æ voit ü 7io qràtaad ddpu^ejnce etatas
Lésais uro nia', et ebxiur la. pisuorLioei, qurts cLoii.nenta tou ôUTiouao aie ce, ptea^sia/L* QJiazzoie La faut petite et 77 tesa ut ue,tet d er'Lio /farad granate etpeu a,q leutdead, a, cUfs a id |
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ses profila trej peso correctoj7zejztfet, d i-zo dur a cwiwio
ozlcuitS mes'zone, beussont, asiac tlro/uteote^r la, dib&rt£< eus e/Àº, udjoutej^ .
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cSiir lewiecLejtaus cL· lD?zvj~&T)oriq/U&
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medej-taiùz^j/L· nom· on£j»&u/&mjifi£ atfruze, auelau&r realeJ" tjezzrzleJ,
j-éõ^ les qicellej· è7^7Ô7&ðÝ;Àæïð7-&éøéæ&ÃÀ£>7^ý^ cv cfcdiM't de, mettre, Catzuzeo et Ë^é/jUL· erisemJtl&jijour c&JU&rueyt
 ullajzt et d&l^orjtiEy tczzu* dezzxyp^zz7ïçois értmczraléllt . Orh fz& 73£zzt ajzpjipiiziesr b&rofzLaés Cattzneo,LozztczzCIzvcozaiyrzzze de J"zl cor/izc/z£sZ7~07J ocLfj^et /n^/adl^ o/uellt, zLj-izr* lea/uzu^re d& \forz j2zedejtzzLl 7~es/id úïôæÝ& urLœrriitlie, desajji^eczaze . É,æé z^z-ojDOT^tzczTL erz tz&rzerczl dz^/VLezlesìniZ d&Vzalzij est en ade, au . telles de,dht&êém^zl■■ériû'^^'ezi/e^Tjént'-cJzari^e^ les ôçïæé/éõ^åË,øÀßÀÉ/ asjz?r°iJ£dr Zl& Éè7¾×Ã&^ Les de,u/jc czatres aietseATLfne, s ï rit re^nz2ra/zzadrles f øýÝøæÜÔ' l&izr·
trop az^cztizde hazzieii/-; ailùote, leztlzzrozzJj de, laìzitu^sfo d& ceé \ |
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lct Jtzlzdite, cozzzizè/æÝ . \
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avLL &st nxajjiteyii^cuxt WLalusey -
d& Saniti Maj^ie Å^õñ1éáôéô&
C&st lcjj jojlj co7utejtati07^ Loiturane le jrlzLS
pajyciLt,qiLL noiùys óïéÝ incerte de«s CLncLcn^, dont LCLu tr^oiLLte le, p7^ojil pa^rmu aLLeLciLLe^J terrLÌL·^ nLLC ICLLf d& JrZJV^O L LO 07Ǽj cL071± ÉâË 77XJZrUlASCntS
jorct qarxieus daji^ ujl bibite^txnite d^rT)ttcxT al&SaLioiJe.
{Lei or^dne dejviLLS 7^e3L CL& o/lOLLL^^ee, ÌLLSqUXL LCL
cornicila cl ï Lizze dLa^rrLetrej do Icl colOzarL&fCjLtL tôti£
iriTLat cLeLLJc iixocLLcLej. L^CL COLOIZ.TLC CLLL&C LCL Ï CLSô et Le CiZILplfceiCLLL CL CLlCC
/ZULÙ nLOCLLLL&S . J^ c7^tolderiteJ7jb, cejt czœzi^e L/lr^cttrti^cLLLe,, esce, eit
UoTrizclL^fCL qtLafre 77LOClll1^j jilolìLaS qiiŒti^ 7TLaaAJ±6j les quelles i^ze ^rortt LituZejTLCtïÉ co/z^scdcz^able^r slzl^ le. totcLL, et cette licLuteiu"fitLsarat czcllcc izCLijz&me*j de la acd^tijz^produit ^iLe, iztoqeiuze nrvpo-rtzojxelLe, ertine c&Ue de, LOi^dre Doi^iqitCfdojzt LaLLCLolerzzezzt jre ia,Lt duri qzu3L7-t et de ÉûÀ¾æôå Loi^uztlzLeiL auquel lef inod&iyzêJ doLijrLcnt ojxluxcujisjrtcnt vrne Cuiquiémc . 1-,á, V enfuies est ut OiAJxLe et a^ un ù^ej- ho /é effet . |
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fïl lanûjue tire ouj^j
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Théâtre ae Marœllu*j co Rame,,
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: le 72^ dorcne point ce ρ)ΐοβΐ' lonzqzte pourvnc reqle de cet
o?"drc: parceozie larcAztecfa aya/zt esarci dIw^arandeur deson ouvrage ~por vnc rais ore de lûp tique, ere eu Ireciueozip auc?77ient£ ÎerLtaJjd&rœrw:aflft aue Ict veliepeutj'ozzù^ dej ôrTiemenâ> do7it ότι, cl de cozetiaTie de lemJreuz?*'■." Lcl fiaiiteur d& lor certes e^t de ^jÎnqt'-cteuœ irurduleâ d*/zac tiers.
'■IL ce coylo7i2ze auee \rcc 6ase et sojv cAapzteazc riférb ce que dix- luut asseye justes ; se lze7c qzze Ι'enùiâiemcrzt estant eie ψ Ï3L ~- it 'Ysè trozzae dunejfz^caicleiz/^ cazt7"cw7"di7tazre, tut ce qzo'il eœcede ν η quart de tordre, oui eét la, plus jqrajzde p?ropro7"tiorz qzù'ûTzpuifi .Ve doruzer au; Ώoriqu^. ;Lcc tfailile de /et cornic/ie est aussi/ en quelque sortc< ziezize-
sziree, znaù lo7e/iitccte eicû cqca'd à tetnza^se eritie7^e de ledi- fiée, et a la /leuzteccr de lasszette de ce secozzel ordre;ce qz-zdluz/ jiu anssy donner pece de duriòizrtioz'L a la colorirle par le heatt /jcj vedutes de ce cA&piteaii ^orzt Ozca/es. |
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ijitiiatiori lenrpecaiie âaru
profil tire acd ThcrntcJ de LHey elettali a Homo Τ Unarrùd ce deMirt en^ìh^eetizie ατνν ynJoiv ju^ eat^^
rniewo de \ro7L effet Îcl Aanteiir de ΐθ?~ώ~& entier de jJidâ la Irate ι'τυ'Cfw'azo haut de 1er CcrrnzcAe cl dia, Dzamctr&f et un quart yuz.' furet uin^tmadu/eà et demy leâ-aueleàpar- iztf'eu entre \ La colanneet leniajrlernent elle enjpre7iddùvm jept et lej traij riardale^ et demy rejtunt wirt iec hauteur de L&ztaMcnïcnt Ici dmerence oui Je froituo entre notre pre^ mzer· oxaTtnleJaizujice et ceauy cy cvizé^fte rrfutut danj wl qitajitité totale de lordre au?en, lupnrovor vaj~tiùJ car cet entadrlerncnt comyraré u jcl colorine ccauj- JÎ IwrrtCTrtc r&ùztzcrrL dea dzitëcnezaiern&j e&rt adù~c que la liauteur de ut ccrunznc; estant autùec en ii^zelr>artzeâ celle de l^taJrlèf rient ere coritùent deuac que e/t "arie simetrie adpetee u cet ordre . JL/cj Jû lutea de ce cAapiteaic sont con iOin^xe&ó eiuec le cornpad cornane ore L· verras cy αρί'ω · |
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PaUauuû et ScanwxdU sur lordrôlonujiiô
Ces dcuœ PixoliL· ne dî/Jej^/il presque, que, d/z7is É÷æÉ^ï/æéßæ
citi chcœiteazjj; çell& eie Scœito^xx est j?dr7zctiliae,et tient irtoznJ* et& Izuxtique q<u& ezedle, d^limdeid^ illevraeteela/is L· edesseuiqu^ll^fut ueue toxiJ\ etztejsc .
Lcl lizziiteuz^ eieLee comiute Jelzjiid^culaaio et/leur dizz/zieÙYS,
ejetL t-ont ctaxttiitt■:-'/72/7<aiizZ^i/.'i^:/^.i(^7/i72^ ö l^iÊaln&irLejnt< qiiV7z& cuiezizj^77^fqu^ La prufâaiTion q itti cLo7i?ie azcajnc m :^^/9/i//^/iî>î^fe^^ieiâ^^è ezztj-ilintezicc fait de cJter*cher vue iixoy&J7s7i£> n7vpo7ti07i£zl& etziz^e Un orinile et Lez Ïè7ºçáÀû&7íéô£.ç2ïá/y a/lei^ uni * queljque, sa/~te cLe, qi^oiaatioii éôéé qeftr& soltei& cul, aeuœt, deztliis jazuuu souJzcziù&qtie uz ewrnzcJi& eut jjiiitot 7joi te îles denùcules que,des iixodd w/zs;pUÂsquMS 'sont anectes a cet Orarie,je,eus la, monté. tzhasit au 7p7¾? fit œe, -Scajiijosczn ,et jadjoiite, quej-ojzcJuujvteau eiztjitpliis nxasjind deiioU. i^e/iaz^e* sa, ex>7^7iictzej7lzis /ialite, La, co77iuas&7~ de niazzui^s mus qrcuids , etotez^ ù^ois ou \ Wut^^p^eÈts reotels/qûLLei i&zcz&rit sexdio et nzesquzzut . |
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ò&ruo vb (Siarioi& jiir {Ordre Ionique
iej'^S^rw j-zuù\ritruzL&etVijprwL· TMruimt prendravne> marie
W&plZMf noét& 7m,prr&?au& aniu leœœj. ^j/^faiÉjadb coionn^
d& jmlo/— et TwtL aoruze qruqrrb cMzq/iu&me à. l&jTJalrumiJznt i
uuitr&uiu ατ <wrzrz& Yi&iLneti&rtJoii^esTii^^
Otl doit édarn£r^T^rìaÌé ae jetrc> jerzùà ctt, LaouLfe cLeA^itruites ne
LeJimiaji±poT7i±; da?u lerejt&f7m a^L aliano αυχιιτν eaianprL·
daru leu- oi^ttran^r' udriixazLeJ-/etrzetani- pOzizt appvoziLL&e d&s rneiMezìTJ .yftiiAeurif ηη,σα&τη^ι, a/ut hmrrieiii i/tu'Lcproj iore, dè/iriL/. aepetzj -tondinsporcai/;cejt charjmr Itâ&rtjkr ìL· |
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D. E>aj^baj~o'-)éé -Pwrrc, Calati&o
siu^ VOrctre lo rua uè, 13)\ Barba/a, qui dotbpasJér pour Lepr&nii&r d^j- S zeta *
beut^s cbe vctìruLt^jCL· donne a ejzaatte bujtde cle, tkïrchÙrYiLUj. onze pente ou es pece/ de retraite peu- Le, bas ./'. la quelle est; ea^pz^esseazent ordonnée eût itou Lenze, luere de Vtbz^iute/ (Vetri La pvrL· culo eliaptù^e detmien . Jet ratsorL· roj-ui.ee sten ictpeviri?ectzué meparatij^bti del ι etite* que saude.ajzi re^sté ÌLiTAi api ^esente jjoint cL· dcfjercnce. etztie ces ci etico cinta- Met zie/zs ) a tu zite, ρateussezit ΐΊΎ?ρ sznzjeles ,/toits parie- i\7ns dents Ici s tute cite cojUnzn^nenieiib de la ijcruuie zie .Barbaro . :, ' : |
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l^krbx sûr Ibrch&IortLxjviej ' ' j
II e<s~t azwc aL&iiLae/r qzzc, T^lctLcl dcjt <seyrzzu dzc !
prodi de, PclLLclcLlv, corne, zlauozt dc^iccfajterhlOrcœe, OorzcpLC,et azze, Scczirzo^^z ajrrzcte. Lu .D . ^4 Lo erto, et il e^t clzfzzciL& de, dire, Le, azzet ej't Le n'zezLLezu^ de, ce+s clezcce de^r^eznj· ,X^e^ ^dnczeyj^zy ont ejnme?z/e, cet . or^dr^c bien, CLiLLcrj·errccsiaZ, ei cva/a<y ù^r e,ce&irripde<s \ précèdent Le*s urz^s sai^zt ejvrzcJzzJ' de irzo zuxzre+s, et Lcj· ajLLù^e.j soiat ËæéôæñÉÝË.ÉáæßÃïßË jozdzaztc ïzzc Ñ. jB .y4LbcrLh eut cour? e jes dezztzciele+s <sw^ Lez ñ lczz\e-bcz= zzale . Oixpezit rappointer zc/zt ce azLejcuj dit, j-zzr le^ pronLs cLetPalladzo et, de Sca,nt^)SC5CZ;et Lozr, z/ cLoub adjozLtcr azze Turnice jxe ob&zzoht peu ezrzprlohzet" urze arztre, h cu e azze, L^ttzqzze,, pztzsa zzc PczlLaclzo laizad prerej^ecy ce celle, de, T/ldt^zzzze:czzljji, ajLzroit-il irzzejzzoù paît de j zezzzj^e, ñ rcótj eme,zit Lej rrzocLeyOjxtza^ej des la, cOri^zccIzc czev pi-olil de Palla clw, Car ezras&Lk |
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lajiit dcaicufcr jotc zimitectw rz, crz czdjozztarzt qzzel
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aize^r membres, et ere alter^arzt dazLtre^f d arcrzdz
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jcz corrzpoJitzorz pdzu· irreJ a iztrze,
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BuUa/u et de' Lorme jur LOrdre loixiçito .
6e ñé-áôôßåô proûL d&Bidleutt/ e*st przcùraii&nlJ dt&lom l/ttriLWCsi
iiiaÂ? les tfecû7zds 7zes doitpOints entres Ù7riaÎ//7i^'etariù co7irar77ie yiy a laritiqzces ny et Viù'iatC/, et 7Vaua72£ cucciate/ rcgulaj^îtcs e?v <res pzu*~ tiets; las coi^tixeAey e*rv co/tucpc; le*f ñôéôæåßñcuicc 7çåçôß?7^ïÜ, co7ru7xe/ leu douez7xey et le/ Ica^rni&Z tfoTtts petitz e£7pau/z/7~e*s ; Ice frùres pizia a7-ajzdc/ qices leu co7~riÎc/ies; ko Save/des ùu colomccs e*rt/ altérée/ est/ jwjv7~7?ze/ eu en TTietfiire/ de <re*f 7i7e?rd?rej, excuses l& quali levorojj-ew* dio to7~e/~paj:oik
eœeeiSJÛie/, eco egai^d aux; denso tfcvd&i pus *f07it/ aiode*f-sauif, ïééÌ"& Ici re:petido/i/ rulccides de deziau a^trcujaled jiit /^ptzrLt/xes; 'lwvoÌu£& aïe cAapiteeui/ etfb Trop /grande*, az&rji/ biens tpee/ l^pi^œroies, qui/ ôàt 1& collier de/ las caio7zne aztee)' jotv Iz^teirus. |
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iTOTc de,
cth^tue rwx^r apprend que les nahitans ci& Carte, jetant irrus
auec les ~D erse? pour combattre les Crées, après la, déroute, aies >JPersaris diu-eni-opines par les rroMxqiieurs, queprcnt passer tous les h^TTWTUîS jdoj^ L· j^.d& 1^ captâtes. Ce put poiu^ rendre leur trtorrupixe éternel qurls
r^epres entèrent dans les eAirioes pubucs ùnraiq e aie ces rruserahles feriijries asictwlees sous le ρ oro s azavpesarit TOj^dcaiL, qui n^sr7rqiroit 1er ρ cene qiee lerrn "inlle allait · m&rLtée. Cet Orère, ne di/Lere ale LO ornane aite aians Leu jraicre que ton a, s ourrerit clrariqcc, pour oonserner- L· loivr aies eritreriawrcrics·, en, niéttount des testes Oslapince aies enorpit^aiiOc,v atler, a^es cr?Tppures· cir rnoinrere de iroltites , sorts tr?ztcricr air reste de, In colonne, dans la, quelle, are errtadLort aeMÎcsrrerit, aies caririetzires , proier représenter les plis aies r^rhes de ces feirvtnes . On ne se aiozt point sernir aie cet Ordre, alriris Les Causes, m/ aLctns les paLais des Grinces, ozi, Lo, misèi^i- corde et loi liberté ajourent ρai^ortj^e auisy irorus cs)rtrLasroiis la, lecenee quon s est aiomiec de représenter des aria es et des Tser~tiis en La,place des cororrnes ; puis q non φ&ητουΰ ptiitot y attricrie^r Les itrces .jadroirte que les Grecs nontpas en rats on die paire r^ortei" a des pemmes poteries et délicates un fardeau sr Lonrx)
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Dò lOrdre Persia tc& \
Vn cLCCicL&rvt ñ are 11 oj 'ceJiMJ, ctej Ca^^ipaMd&s 'd&njruz
nahjâiixp ö lDrdr& PejTjinu£,et Lyt É^á^Á^çôïôôé^ç^ô cbij/unt uaviTCJjy Uj1 Ptjfcscs. ela-Lere.nt dej trophées <£& j. uziru arnixj/&fr Lu rejsrejemt^raxt atzjiui& jozw LaAv- .nzire djzjclaiizj ûuù ñ ïTùnsnZ Uj- &ja±atrhyrn£,njj del&wj Tnzujonj'. Cet Ûnire, estant jettes jolui^fOiX Iwu dœrzrLù Orihnjxiremxsjuo vjtl e^nialrl&rrient:, £)onqii&r Ofh vovù \ ejruzore, a&nj Rnme beoLLroLLp deaxntp^J" d& ces Cat?* iirj, celu/L/ ci/ est turi, ajLLjPalaij' FarnôJ e, et il éß^ ?ious rej-tz piLcj· 't^lctl abzj· Cai^i/atid^j- . |
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il x^Oiuto tu lienhent
de La ebollite ûon/cju^ Chapiteau dlonique ne dirrere die dDûTCQùt
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a
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nue zza us w. Wz/^7^/ jît/ ë4 ^(2^, Zz-z^î;?^;^
de décrire cette, inutilité ci este lonq-temps iqnoree. dallacUci fut le pi^eiruer g æ ci trazcuiai pou laaiarrd* un cnapz.leaju de cet ordre, sur leqitesld ronzai''q zza, les 12 centrer a e cette.'Laize Éñæçá^;£ÀçõïæóáÀÁñæ-áÉéáéé& |
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liauteiir du dizczpzteeiai et Lcl ñeue-Ihlioride c/ia?
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CLLO
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inerriore eleint faztecifaict rea/ler leteridizey de
cLCû seioie la nies me qui est (diisfree u'itrÎe· pz"olid oint j_2.. dccpoirzt d.S ø on auczeuzze LCatlzeytey ï u ie a peonia, zjzzz'dortpasser aie cejzù^e eie le&dde ice |
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uedute marqc'elidaci - ; CciMnctes est couipre ci cinq le
eu oit par mie a ali e Lane ijrna.zzt dit nidi .eu: clzz coLlsj^zzi; et leur pozzi t duiLenrecUo il ra.Lt le centime de Insci; aittozir dzL· ce: ce/il/e an-anl' drerU"un cercle c/e ladjjmueurdir folcirà æ jOirfozYiieinc/ecleicu un,petit atmrrqcL·/ aiiolcs
cui quel á.øéééÀ /'urur. sdiapoziales rozz zLiLcreiuclzeique moitié de ces, diano: eri ti itu partie/, dont chaque point seriuniiieceizUe^ cajiu-easiti nei u eizt nui après lanute/ pouj^ foznreu les- dLjteyrerzs qiicu~ts de cereL., que œre- pos crut la, laqzze /parade cut musicete :ds soiît disliuqiies eie iwiiwre sur le clepenzdujac?/illû7iire q/ doutent re/v/u \ |
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Portique (£ßöÔá7õÀ9ß& áß& Ub
For^mneViniL· cl Roms Üéæû e^t rnn tritejjzint) /EaÎtse d& sainte Marias JELguptieJixn^ inAzàs *jiaAri&Ë&./zùfo &â bproaL de, c& -te*nm£',e£ u>\
fiÊzéjr mub "uoâr le, rLE/jeLÎ^ cLaj-ios Åçáñéß^áËË,,øÀ^ôáË,õ . r 7 * 7 ■ · ' iï r
aJjv e&b ajjy&c lej· áéæõ^Á/ cJzojj LlzajMXy; 0ul i/o iïô / ur :
'.eJt\ WTJ1X3 cœJTTfeàj'i/M'fiL ééóíßå, èC /íæá,áô^é^øæ//^ &C"ö;. |
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PzoIIzjutLlsO, ScaJ7Wx*c4s, Serbo À&ËÃæ&çÆôÝ& j-ur
L· wteolej'tati ct&lOraresIai7£ŒU£> Tû 7 et cas hro-fiL· ixzznj leur dzn&z^rzte 772~cy7ortzo7ZfJciizzezzt
jerzzzr et dazerà ôÌæôáô^.àç,áàÀÀ^éôô tout attmr égard zz ztiz qzzaute ztzz tzeitzizzent et'et ut distance de la ztezzz' dej-^izzezezzj: 7Ì077ZZZ777J* 77777Zt 777ZJ ÆÆ22ÆÝ etziclze 1<X 777^7777/7^ZO?Z ZO/ZZZ&jnzZDZe
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Caianeé Λ/ζσί& jB iiltarit et cteiZ^*
Sur ls Piejdestruyl eie Ι Ο rare lantczLte .Lsëj^neienuf aûiutoie/τέ or&ûfâtirem&ftâ pti éLloL ο as e aie Leu7~s piedestaiMX> qua, la, oanaise cuioutl ae 7 ■> '> 7
nos Ûzitfzezirtf ne sa esta7^reste/et queicfues 7?77S 7iie77ie
c>/Ltfciit/e conùuùre IcLcoutuirie, /a 77773720: etaaae est ae aormerΊϊ/ieeaàL·feu/Îie a,£un& aua^iaLitrB . J^epr^mla^e VmtLl est coppie s/2e le /eeonciag£seAri e/ue /e Paliaaio no Ils adoTTfieczans la éeiuÌ/e &recede/zte, et I/z-a^jLórme amis trop depetits r^eialets cla72s la cunaise , aie soizpieci&rtail. |
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Vùriuus col-premier chapitre d&son qiuizrierne/ Huj~e, rwzus ap-
prend de aide^e^rridnierc CaJliznaeuaiziuezztw ley eAapztxau Catiix- thzerL, qui est presque/ /d seule clwscqui rezzd/ cet ordz~& dtjpcretrt delloninue. Ce d'ciizpteur ziicàistrieiwc, voyantdc^ ûzzidles daeajuiw qui deleuoienù le Utuz duzrpanniez\ oui es toit surle tDjnJrccu^-^ dunefdiede Corintne,d y z-emarqua aue la cùrie de cette/ hez~tre coza~hee ezzlajpar Ict rencontre dztne tuilleiqui cozuuvitcepoax- nier^ wrjixoit vue espèce de ν (flûte. Cette zzozcueauteluy yrùtt/etjut L· pr-emieï" œnrnxencernent de cet ord^e, dcmtil/ estaJrlit ezistute lo/proioortioiv. le Pere Vidlalparid Jésuite veutt que les Coniin- dizeru lazpent tire/ dzt ternplcs de ifa/oznazz, dont le ίΡ.Έ/ζρηϋτ- auozt este/ £architecte/:ilse sert cL· laËilrle,pour autliorùeJ' son dezzzirrient/,et/il faivrjoii" que dans ce/tempie^ les z/rais oz^znaux cotoiezur eu IrancAes de ρ aòrte portant aiz fruit qui ontpluJ de rapport ai&cfizcillej dOiuut, dont/les Linczerio se s ont presque toit lourj da^uzs, qu'auoe putilles dacaizt/ie, dazitiTzkruzze nous a, décrit Ûzù taire, Oztx/erra, dans la, Juite le desseirt cLe ce chapiteaitsui- zuznt leé meusureéi que/ Titleziprarul etv a reeeiiillù . |
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idoute la. hazitew" De CVidre depuis ^Mfo-^iuéa/j/L· Ιφ Corniune,- πιο/vù?
déifia t&o Lì fïîodulej etdeuœ nera, a ut jont.yio llUn-ziltej : Icl JjwXO de la> (^ν^τνη^ α,νη llìvdule: iaSliae, e/fi. a, quinze,etdeuaidem mtnrm' decwc Jtli/wteJ, etL· Cluipdeau aeuœ Tlleidu&f et vn. tieni/ quipant efZéémJbL· mucneuf fHódiu&} ? ο it S 68 TfUnutej : puntai?lement eétde, quatre /fio a ideo deuec tie/v &? dmi^j lÎhnutej; que est L· quart de la. Colonne," et qtioy que-quelques ÛMtJzesxry ne JM^ Xwq doTvizevttr qu'vn Ccnquiej?w.t Cep/endantleé meillecjjrf restes de. l'Clntu quittant CantalImunt d'vn quart tout entier^ Onen doit donc denven ζ, rer cl cet lœe//rpL· deilaéyxjoto-nde,, de, pair-'qu'en ρ enfant rendraι cetOrdre y tas acuir, d /te detnntmesq uin. · *Jlu cl trouproportionné quipeuuent"Conaïmt"deétOrdreCo)< uu/vj-riajawod
L· quart, comme en ce prold et au luuuznt : leé deuœ Jieufœrms, quiJo?ithu rnoye/zne proportionnelle du, quartmt Cinquième., cernirne au, tr~&ùterneprajd dre'deé Ciluwrizes. de iûtûclettan. ' et L· Cinnuiénze, Comme auoe nrofiù de, C7) ni· io ■ ■
dfallctdw et de t) CûunoX ^l-, Jçemieêàç. rencontreplus rm~ejrient dans les ÛBUfftL·
qes antiques ■ Ondadroute'dlqfindec£uliwr^vnpiridiCorintluentzre du Campo Vaccino
cl ts'Lome,, mie l'on dent reqarder* co/nmjïwndes paio beaux, qui /του^ί soient- restes des anciens · toute lœbdziteur de cet Ordre artde^z^' f/lsiduies ijininiitzs 2-| que font γ 6g minutée ^| :SarLejtiubL^ze^iteiùd^cinq Μΰ^φά' S^Uruites 4> onde iSS minutes .1 · Ce qui l^rend^pupeuplus Izaut pue InaucitïTenzepartie deruT, Colmine d'enuu"on^mwMl^i^ deses ormmem sepeutmesurerjiu* le modale 'f^^^t^^ti^^^pronL·' de ccdau^/Cique noits azumsprL< Jur
L· demy diarnede de la. Colonne diu/se en, ti~ente wdtmtBâ · |
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t Carmâuaiqu, etoé au fror^j^c <hJferon
■'■;'■ aJlome. orntm^ le ^f^ ÎcLteu?.et leur- deam^rc etmt de
m^oMd^^meùejdeha^^ ^traordincurc, cl L· - · ^fera^^^.--?^^^^··',^^,^;,·^: lÀrvhiteete ne l&r
tre te &>&&*$&£ VL ÎTiuZcs- On, n, ,*. doit : ciuinqc ht proporiwn ; .
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d elitre pro/éß QjiiJithi&yi treJ. laiche,
Il juf szrsen de. pnii^j rieJiœ daner iMrùhMzxMjqrù ulte, cet
eerenzpde COi^intìii^rhjixsius vL Vàutép ñâ&ñ cL& lei, prozie/enee pour" Kï'en, <s&ruu^ wropoîs'•car- LtlhoTie/snaee alej Orrvr% merus åççéçïééé11& /eer yf acjjnze^,et rait iinits^e daiis L·**» 77ïéjn~dhr£*s ijri& œrd^MSLOi^cjhLL· triasj-& Ibdil e/es erceuicuss. JLi& sL^Mareii'e, á.£Ë cjrwizrLej de, cepro~tiLrrwrttatb su sjucl-- tre, psum^sus. Le, cfza-pitejiLL aisoit cesUL·'etU* jjartieiL/tejr que r Y · j^ 7 é * r
d'es ChiLUCLTUAS tstenent mt ôáéñïéô, de, e:omie^r a£> bélier,
JLuSh LWiuurm suLce sszooj'e et u\o?z, cliiipiteau, su í trini.. niod.ii/ej'; /ewsjiseL· réduits e/7, minutar parut......................6oa
JLìujAc/zulnaue, a un nxoaiiL· et urt liers.....................:................ø?.
d^a F*rue, ñ eirei/deiiiei it þñ¢. nze>dti/e 'xi, un lzei-\r....... ë ï.
L si Cor me/le, su dxtur, /noduli:s> moußs nuitininutej\..5d
HTOut /eiiteib/eirnent uneiit a de nòe neu/zenies de /a |
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y7 Profil Corùithien du Tempiere
SabmoTi, Uré de VWalpanò'. JLSdek aite 7WZM do7zne, Idïcritzi/e Uaòzte aitjjTVjil cnc^
Thiyj/e de ι$α£>7ηο7τ, et les /lùtoi^iens celeèreii aite Tf/Ia/pmidra- ψροτΐζ 7?ieJv72t ctû-ù-c fite ceûcjf ey /uy eàt asje& ccrdvriric, :. I Jja œin-jOOJÎtion en est toutte CotiiztniejTJzc, yiary çue Îm feuiL j 1îlç&o du, cÂapvteaùc :eù\re< azùlaxrieâ soientdepctérhê*, etoim" layjrùgi de l efi£a£y/e??ze?zt azt t'oTncment Zi/jrtaUiCi dont la^Jm- tz^E^n&y^ cl la, deaccu&fj-c-, Corinthienne. |
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-L/Oj aufarejxc&;oill e<ft> ejvtre éeJ."'-.dezia^yÛronifiécbeJ',TJia-ttjrre-
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en&da,tt> L& J'zMv durù û/iuirt tout, ei^tter, et exjecede même
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jnetres, et vitrnede; àæø en, donni; dur,., leu
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troiiii£s daiu li; ofmwzdlaiL· de,óeruo' ejt j'i> œn^z^de^yiJ7Z&/
qzMÓduULLÒ rteçe.sj[etlre^ìze^it' e&TidajrzrteJ^ celili/ øéé&×./iti^tOLte twlùj a jirej'&z$' tuojJ&.aaap-deJon^L '"f L^irie'./cru> miidiniu, |
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ë lneliurey CJU& zôj œr&TTZL&rj· 77iaLÌreJ Jeipi&^jeriuJ' cUl/lt œtbrar&'f^
ûD7~uzt/iteyrL· d& ÎenJa/neJ7zerLÙ <5C a& b^ caioTTiz&Jozzza^u^^yLqz^Iatis ôïõ 7ç&ôÀº& á& L^JDaz-ijJZTLe.^j-aJTJ' TfaMioizteJ^ autres choj'& øôæÝ> L· cJzaj^it^£77^cldyleMj^ 77Æ7Ì>ôéßß077^:72ÀÌßËáé^À£Ë esje&niJTZ&s cLe\f Ëôô÷^æ&æôë font zwzj" l& cozxùraa^e, JD^ojzieLJBoJ^oaro CLfixzzLL/J'OTv j,ey7^izr7a^72t,,zy^a^aio7a7Z& a, cet.oraj~& -æë/æ &rzfaaz&7/7i£7i£Éïô~ææáææ& beajlcoziœ Tzzozrzar^e, g*éËÆ7Z£ atei^rozi:' &tr^axxvizj-<z< ae, L£acJzajiL·- J&7ne77t coTTJ'taeì^aijLe.^nLLó ItL ariO7zrzA áÃåï^'Ê^õ* lol/zazztzzzr ai7 c/tjX7P2^llL· Cœ7~z7i3Ai£z^,qui ^cibiiai tiej^j' 7Azzj-qii&IJozzzazzc'. \ ' y/ y7 r ■ '■■'■■ / r y / '
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cziLzj-/ &C /zL· 772ézazz7?z&/ Gy-LLLs-Tecfr/e, la fá÷ÉÉé^ aie clzaiqii^ ôôô^ôôô^
are afa, h^LTj^Lzr, ?zej t jptxj toiz/oïzr^ rec&Lzz^LJte . |
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;; ctV^ deffeirid& ^Txrùxy- esp pn£/ coppie/ dey eedrcu dey cÀsoMœxlzo : co dans
y CL· dcztac/ choses crrernccrqicer eycr
ôïezcdetftrey cu reprench'cy. ed-cu prendere/ e*s'ù layproprortioriy Ìrcdvcy dw chcu- pziecur, qui/ n^ùjuuiie/ que/ dos declcUeurxj d& HJïù^iiZLe/, eu qid/iicv-point deaceiripic/ dans IxiriU^zcUc/. <=Ca (Seconde/ esb de/ ivauoir^ ñ cult/ mis de/ m larmie*^ dans day comiche/, qui/ est/ un/ rncnzòrey eWeizczeù. otl voit cep eri \- :dcaxt/ ô/rteyjfarcilley' œr7ïzeÂeyds C/Coine/ dcuw ce/jiarieiKxy ceinpsl& de/ßá/ ''■■Sidiiiac// bcxriypcu" lòrnpej~eur<:&e*fpuMid7/iy . __J et' Rice/ dea rnodrllontr me/ t)ciriòle/ trop laj~geyr c& la/cornicile/
trop tPònpÌeyiaazir wrnarierib qui/ øÜ Marw Iwfrùe/. on/pour ïßï ã rerrrecti&f", Coit/ eri/ ctddoutzzrw iqiielqued faiuMes où/ d'auù^ej entaHlei fier Lea doucò^^ó de/ la/ cornieAc/'tù de/ IjxrcÂiM^aue/, cucco des ouM /ur Îc/quecrù deroizd/, oiù bierb' ùyvTeXTa7"ic/iwnJy õïôßôå7ôôåôôõ de Îayfrùre. CJadj'ouCe/ cju/ccq'orzo<ñÀ"Àü d^c€Jïtruzuy azyj?7-oparùii>7z/ qzoO/ donne, w^oiiycliavuzcuv, ils om^ozc/ diohudurrtoy LiriceTixiony de/ cet/ aiidiéur pie^treyplutoodes feuilles dajxxrtfliey; que/ de*i Œuuled d'oituo. |
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Ce jj-poFiL zJ^Iztzni^Bzzdbxizt e^ t ttumt reg-Luizr qu& zzéliiif dz,.
Sz^rlzo, tn^/auli^ á&LwjddzLttbaTTZi^tZj^ Ll a/uxJIt^óôõunJzizzL· |
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v7i&p£tit& doitcìJiocf; Sejzzo zq/ auoit.niJj'e^ irais dois)
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0071& au/u'-u/piiLf desqcLirx6& ïõ É^óôæ áôæçææß&áæõ,áïæô×:- œj tojxIIù-
eù Uj cniiAa7ΣjdoTit ttiizjzico àóæéÀïæáææåå^·. ozl rejt& cdt^drcJrzz- > zza,,
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tect& rzôuj· eu cLo7in& zzazctròs jtrqfzò\ ÜÆéß^ÉñßæÁ/ ^ûJizvJiuiy zmtl
asizr&z de, Îjzrzùn/zzz^nzuLZj Lzj Jizê/zar&J q, ziozl/ erh ay LaudareeS ize,
jo7i.£pas d~777^t ea^zctej ,i^fzzzzd*eirt d&JLoriTze' ,øéé& &Tl^7zdoztzTLL;
ezzjn uv Cozzi?-?,, zj^smerrej qzz& Leu côrapasiiiofL zzej orciru;7107^
^7áææ&æ/7º^À9º¹^É;áêÀ7 7áß7·û tzjj/:remzlœr' tïMf zdtiro Ýôïôé,áïzzj-t;
quoz/ qtLcLLes &Lzj& ÎbiTdvj^zrz^y ö ezizee L%kf c/zajT^lz^f ad, l^zs j
Kç~îozidz% .JLsîL· fT^dœ&za±zz7r'ë< zie- Itl ba^r& d& c&jrziodzdesp axzda- D7^di77/zz7^i,.zCzdzS C£pëFi^U2Tzt. /dztozT^ tI&j-j· iqzzde* stc znesi^trz^ a.j pz^dd rlss wst/Tp^Jprù zZJlôz^iid,itzd^pzzzd l&j Tj7zdzd\j,oiù cmild* c&Izj-'d&'desjOïL/ /^r roses dé ÎAbaxo,ôçïôúß&ñæõ irai? hnzi££77y, \ J07Z C/iap7ÎEZ7i7^y
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7ô ô
Hlhzuitwn chuh dejjduteL·^//iRotoride
Utl doit j& Tentar lur La.JwTJiuxyLtc a&cets auteLet-iie,point-
embarraJj&r sotl-otujj^aa^ d^ touied· JdrteJ' aorrt^izm^Jmzj c/iotac- eskJarw7jriid&ìzc£.i.fTie, cornpojitzoìi rtAfbmtf rnoinj' belL· |
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pour 7~éá.ééïôô pus cespdejr ïßå qttatrt ou Jut, ajLonritJ·, öàø
Jh'idze/t'inant lyry^crntLrptce^ azuc deux, odi? í õ rtfcf· aiûeiriêiu |
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des mûrLttMreui de' id ce?7viijdiefaiit7-077zpe7it la. fiu&etlaueuzê^
ment aL?s membrej.vL j^JuMtqiwriJ^id /doriûi/L du^r &n> &* izut&f^ dut/je oust/vis tozcs ééõô dons Lantre,et; lo7inie' Udoit point D7^isen paj" tj72j ejiudsoiTs oiepai^ zm^ &zr~ù?uœéig,. US co-* ïonjzes torses ï il erri&T*tuteeu' ddìineazia-, od de- Itnastiires c&j27^7jzi^Lddfdo77£ ed Una^zizo/r de r& dUrnt£t^ Hecie^^mTVùv lots licences as détruit ut belley^tiittcf/uete |
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JJu,•piedUj'taMs de,lordr& CorLritrLie,rT,
PclILlcLlo / Scamozzu,; Sefuo &C WarLoie^ Jzrr L&
Ptede<ftcu,L· d& Loredre, Cr??^irdh^eJ~u . ■.,■
■'.J'.'n, djjffereiTce;&&£> LoTLiJoit dojfixJ* la,lieiut&Lir des wiede^r ■ * iaxue cL· ces demo premiers muui7~&f'jV-Lent de, ce, ø;$£æÀôçó£%&í areJzoLLL· JO77,Wreaie>CarLrzdïe,pÙMf ■q-CLij/øõ& le CoiTTpoente,cjiul ej'Îune -ekfÊrlL:puitf aLœoJxù^au ve adaet j-ojxpz^de^tad Cd?raidii^rhptiLf oaj' aite ÉßïðÌñæáæ
de hiu£ rrzJJTLiies/ i^ozdaret L& re/Tiudrepreoiu·eumenidu, epieart eL·la aTwjxrie.d eiAStpeutestre ôôºáæééáæ<Éá^& de, mo^er peur irne espèce eie g7ddeutzo7a,feò de pre/ndre Triie m&iM§zrie> pro^ porcàio rzelle^ enù~£, ÉÀïôæéøæÀÝ> Cs& ^^ ^^t^^xfiÉ^pïjUJ'èi^^ ,øéæâÜñ^ arru veyideerzè aiie, lej ñ i£elej'ieL2Mr, \ôeJ'tirpeuvent éáôôô, lautr& diwrizens d&CLiczrrzeù^e,. $.;.;■ J^e,pi^el&steid de^Vìqnode e^ttH^^imUt,;^ mûit/ur^e^r ?zen,
jOiztj^ew fo^p aareadnej', e/tre ixevrerozj peLr qziah,puipfè |
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eiprp7^oiiiiew"' ceite, e^adùtz, q/icd a,/7Tpf:e, d/zrzs, p'IiiJ'iearjyn&ml
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de, la, cvT7ZLeM&;g/iiL· daut&etù evàre. d/feren^ .
On, lie j"e duiLj-e^ijAj^ de, ces,pieJmf;£eUMjy '■q/uaixec bie;??, de la,eùbJ'eryelwjh.eeu',/u%·õ on, èéeztozù Lepiedej·teziL detSceirriozezzzs CLajTxS viajecorzd ordre,,■-fôjTe?r?ïJ?re:dj&r^jbLts realets, dotvò deej^eiTy^ùp la, oufta^redie^au^ &nM^c&nfdjU77T, mmew, q/iec sev^Ohô eœd'eujreedde, , On, neL pets eudoeete lej" .accù^eJ'f^Ajjjdtejuj/'Xf pewceepiLon, ne
.p&LLiypr&s-çjVLLe/neri, ttrcr de,lesurr pirx>li..lj'/q/iuy7ie^-out , , '■ co77i,pruf, danu1cestCe répudie . |
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De ίΟτορβ Toscan.
Leo Ctricierbó éleiwie/zt quelquefoia àv c&Îoir7ae/T2>Jcan&(a,7ïo βηΐζώίβ-
meriu, &C Lafids oient/ Jei~nzr dunrnxyrtalzser* fe/urv Lrnpereurj. Cellede, l^aj'cuv et cCdixtOTwi eiiifimjt Joy. Ώωυ cet/ v*sag& le/piedoatail eéuab — soiiuTxerit/TLetejjao&s et/il esppredazce/dzene/paj^eille/ Tzecessite/ de lc7V- richzr doi^/zernem, et/de 7"eueJtù~ lev codoline/ dey toutes le-* deprouilles deé vainciié .21'faut /sur toutprejzdres^q'ardeya/ney-pouit: altere?" Les dacomes ouyprofllezwes de/ la/ hase/ et/du/ cÂapitzazt/, qudjoizt toute,' . La/heazite/ dey cet ordres. Οτί/a, tOuq'oum eusdeycoutunie/ de/piaeer aw dessus lev tJizztiïe/ de/ ceAu/ aouiO7z/iierlqre//pozir perpétuer ûvineé- 77ioir& de ses aetioju : et co7nm& eette/filiere/ sçrt a(ertfziAle7?ze7iùacet7 ordre/, o7Vpeuttuy doTtner de luzuteccr ùt/ giu2zrLenze/pcu~tie/ de/ la CO- loTVie/^ou/hionysei^eçler auay ejfptz de/l'Optique/, pour ludaire/paroL· tr& d'unt/ cjrajuieitr qui/ eazeede/ Tfrvpeu/ le/ Tutùtrel/'. La/ cedoTUze/ Trcuane/d se^eyiTLodules auec sa/hase/ eùsorv c/iapitea)- La/base/ dzi/pie^^rtazl/, la/ cirruzùr& et/ vit izocle/ qzu/ est au/ d&ftfUé. . forte/ 7J7X/qzuzrre/ pa^^mzt/, et ex>7Ttzen7iertttrois Triertiu/es quelque -peu/ moins; lev Iras e/ d& lascedoirries çû. i^terrieniy υτν madide/ et/le/ chdpitecut' deiioc/ tierj'de/7rujduley< OrvTuv-peut/ dtr&* qut/ tordre/ Toscarv jozù ddjfereTtù cLe/ lo/coioitne
ThayarLe/^zUjquj^ Pzn^uue. tw7M) Os laùselτον Senzlrladde/profil eus la/ hase/ et7 du/ cAapitea.i/y Toscan/. |
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'PtzUaAw oc SccinioTSLL sur lorarclï s coné.
r4ndre J^ewLèhcrià nouur a. urtile rl&eicc prorìLs erecetûrolrci
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te prenïier es t. j1 e liti vpL·, quel 7 ire ôïïßÀÀô- eiiterblejrierit au mi, /077 r-
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Ì7UCÌ
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æÝå hou re&juu&rt clone outrera lece quci/ért ne lormiei^; \
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et il j'citlItIc querce É^Ñ^ÜßßÌ^'Æ/éçôú^àà^;. ^'ur ce qiiex/ itriiue eie
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emen cLevcrune,
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ci écrit. ìTWLùf cet cu~cliitertc,a
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7
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aeieIroin/e dai õ Ice'^r
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se clcltoj le Tlieatre eie, Pale zv/ er/t/nn orni ã niio/r jeeril'rtàrnìTm:
T'awceirLfLÌ eri ç tire vìi jcpa^ jiiietier ej uc celia/ ole /olio lies anin^eer nini li ej . J
JL, e prûfot ere Scruno zzi 0'croit, olire z ro./j007e77erole foil áçïéÝ> . '
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corzloi^mite ceuec le D
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moiru et
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1 crLLcuxrû rcirt 1erhmiteicr (d^.içreuTzçfînc orice lo óïõ-e Se le csteti*
ñ iterile ole lept dicemeJo-es> se S camorre eie Iciet et aemir ,
É-* eir/rr&lcijì&rit eer toLiiourj- une Cfiialrie777e ocwtze de Irt cetloieric, e
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79
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sur /ordre, Tosccur
e prò/il de Serlio est irò 10 fùn/aie, etirop T/rid~arm&. Éïõ/ôáõ--
A ' / í / í j 7 7 ■ / '
leur tourourif e g aie au ut donne a /a ncij-e /chciinteeuiiCLrch,ù ■■;?
l/rius, frisse &C evrriecdie de cet arrire &rt con tirare cista izn?.·*
Portion a zie ltir cdu tee ture emprunte eie iOptufu&^ujriaie;
ite cori traire dorine czepé&itf a chaque mësnora, eequ'ctpene
perdre de aa grande é ir par /e /o za /zeiJieru1 jairiJ* 1/ a a, car, -
/indie est jdzza haute que /arz^ij-e et que /hrohtù^iue .
Serlio/aitsa colettine, eie de/ice c/iioi/a-Vilriuie, q/suìtpaj^towt
cudeiirxf hue en dune ã Viotto te ddrie a la/tenne y dio: de hauteur.
fJcntadlement de /zuiirde /autre est durz quart de /a, coiemn&
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Palladio; ScanijJx.^^
On peut adfoziter vnzjjzedejtail piiu ïô-'çå Ina tant
1 ÔÙ? í Ã Ã' Õ.' ' ; Ô
Les dup&7 e ils ur-saajis ï7ß.ùéô,ß&é£Ìôéééô-cetorctrtv,et comme*
les-^dnctiruJlLoß>mu'/cr Ioizî euipuzuetoni\jeutpo'77/^Ceriur
cL· irajm££, auœ uctzo7zs ae\ lémgJriricejf aidait o77jt-u
rèfiMt su, oustiptuxr ric/zt\,et)SozepT^destsizt 7Ptus cha/rp
eue moulure, et^,de^'eiui^^iiierl ■. ■ ;
d%tiadm^ebtdâf'^ sprp pte^te+f/tëd atuu^r^e de >&,
7770- m&ÂjJ Les iTioi:7lz77es nue' Sc77/7LO^c^ua'7/us es dsuzs
Lcl cu/ieuse sont tout czJ-rict^istiSJpoï ^teil/Les ^e/t/lnu as 7Vtp
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'ij/ uultio/^zte uz/ejï
On, 7Æ£/770^& mOlTTjt doJZS IÀ JdsXLZ7 7U*J7/jt etf VlCJJT/JlC, O/ZLL
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sert ordiTzzZM^ejriejtù a zie cidn+r tes ou/iJ^asps zszstzqzi&j .
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; é
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8j
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Jje lóròre Con
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Sd roni LmripositB tire dò Lare des Ixorts a (S\?ercmc
\Jnpeut nvoioiectes- contile ce profil que la corniche ndpovit de
larrmerνciPles dcnù^ules sontposecs scuis aucune sepatYxtzern surlafi'ise; quelafrise ineme est dime liautem^ eacessuie:qr les trou bandes de larctuù^aue soiitœntrelapOsaion orainau^e:etqu£rijirL mpurit/içae lab as e est beruiroup trop haute, eneaardawreste. pourrez répandre que cet ouarage estant ajprouucestTjneforteraiso* pOfenaianorwer liricoerte:que bnofrcdr ComisOse s ouTtre ces sortes de licences :que lhi"cJutect6,rK}taani remplir lafrisedefigui^cs; aaottote L· larnuâi" de L· èDrru£ne,po laissa" cette haitteur ala fris e contre laproportiOri reaidieix:que L· larrmei^ nestpas absoludneittîTicessaire;plusqu^ dela^ùua:lcLceriiirJie Corm napouitde larmier: que X.Ju.OwertL, dontlautliarne eatarrende^neridcnnepcantasonorare ù)rwtnieri:etduerL=
jmauouque ^posction dea bandes de inrcnitraue nesottpascomune,
&IL·, est cep aidant aLaru?rueeparL·^auadιo sur laprideso qtiatrieme luxre,auxraflDorte wiparedeezem/ok duLtempL· de ZCole en&almatie, dotdre Corueuiien,etdequimerne L·pluτtJτe est aune épaisseur eoecessuie Lette co wmze a aia: diarneù^es; et la limitear de leatahlentefU~ôji ime miotici »
'-enze partis de Ijz aAoïuzc . |
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85 é ■ - ■ ■■■ ' '■'■ ' ■ \
jPt^ùtiL· CoirurdoJife ta^e d& Laro de ÃéÉíßË alfLovzo, ■
Ce ñ rafil, est mi'Lf reaîi/ier øéÝü 'êà^recee^ftè hC comuent rmzua: a.
toutes'fortes doLauroej/es. éßã<æ< de^ letprjaraiee^, øéö IhrcfTMfecteJhtûzù rmle sui^le temple de Ja&77iorL)pias aijie-cetarc ne,fut eleue ci TctiLs> /iMueuvrej Ûlprise de 1eru^aieyi7i,}pi/isauoir ifa, irutro -. Miiil le cÂeznddter ebfept orail^cne^fOiiL· ejtoitaaiis le, /œrtcèUi - aire, la tedile ae?v a/ieùfe^^iapit a 7?zet&~e lej- ~pains cL· propos t- iù7/r;c<lpmis/eaùzr aietres depoialleo eie ce, igifusde. menùetl/eiiac. Ceù eire çö le pr&rn/er ae cette espece de hcitimejzj; et attûieq/iie dejjiLif ojr en ail, fait aUpfiis airzMeùr hC eieplzis meipiefiaiics, zleoteeizejTeleziit ?72ie,iia^ fr ··' |
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87 ■ · ·
^7iJr3 J^x/mdM? ifëùp ate& c&ù o7\ijYy /jfi joit aUjf&renai au,
(^rLTTinùsrt qua áá^ôÜ L· cÂawtâ&XLL ht aouia la^praiPûr^UaTt |
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hnulrénal7/juia qnu^ eriy lan/aauara1, f&qttar. bc n&ns darumém
: û~ 'abuzLctre'-.jL,£yurotiJyaa Scarrwxjco )'iaéóáá tan£>ae>qraaéy que |
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ceULi//it£laliiiaio minutées 7nouu au
ßö aria'ìyU£mri£>par'£éá a& ca catariT^/aiioipaiuZ^e^it tUa kolc-j* a
.øôïôóûû· dœaxtaeryj&uL·'ailés leu' JÈncœriJ ééáöaofin&rieaborrii, -- 7iû2r& ■- ÊTii&ènMar, ou tant au uioiruf -~£m^ á&la, ananrits.ila åËÞ^õ-Ý, áááôá aoy ayrniah^ ù2Jttac petttf mefìiareS aaiL· aur lazitrfy, quàla, Cûlnjjo/ûiariy en eatœantirz hC lOu/uJz . |
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oerito hC\ri07iaìej çfitr L·QjrjaJ?aJiî&
: lu ut éJ'ô a.'re/jo'rendra jsuuTa/ ce? ñôïôôÀ, d& ìS&tIlù.ila^éÀÂpztcótla
çj-uxerer -øÀÀ^ ordres dio '(pMtJr^fSur ; ·:1ö qiteluy lo reglò-tù 'cayfi^rt7^la^M^-;ip^çpv des erfenf Id&wwtLfflLt
éóïéßúô paraîtra 7renuu&7^£> Oj ^å^,^íéáõÅô^áéô^ßô^ dmis Tm^ydi/lzuzc^
øôÀõÀ J7içrdUf"£&' tLrt^ pourrait rojjpartw les utconiëJy de, s es niaw )hr&s mze&des Tji&fjnjes inesinrej· tjCftjféfyàrfaans...d&'c&d^ffdutd&fù tainSe- dans tjt^^ult nrarid^^jjojaixtv *\á&éá^ &CCC&JJlll& /ur W7T áááñéÀæáéïñöú; bC Tri^sau^i^Lrn-ixriey ; mkfij eacaict &Cpéuj-Mjjoluueua> a^rofu^ses ae/seins très nettement,
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\hC/rodarmi cl ce, Co77ijvâs7.t& les 77i-esier&s cIlo c^oririiAj
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'^7ly.
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^JDiL· ptedestail de iJDrdre Composite \
Palladio,Scamozxi,Serlio hC VujiwW sur L· pied&stail del()rdr& Composite^ \ \) ééïøáôé^ Ïcairwxsci< ait wretendio qued^ C^ympOtSiie^ jiistTJius massif -,
qu& les Corinthien^<j'oriprom^eó'ù cependanòpliis É&áåô etphu d-eiiced ! quey eeuiit/ de> JPalùxdi/y, quij e<ste?d aejns run antre, feniimejzt . dod rejarocJri&r oj Sor Leo <5ïôíô0åé<í dea^a.ctiiude'.^ses pj^orus JOTtù
dessines stpert' oorreoterneni) quclestpres-quimpo^d-ihie)' deaqavtquesr <son>jrvte<njtu?rv. íôáôôïÉ&< Os oortseriòéy larnesmey prûpor^tiorv dans isonpiedestetd COmposite áôõ& deu^us~"té> Qorvrvdxu3rv,etla. diff&r&tïœj qiiùse frouue deuxs quelques moudiu^es nçstpas COnsiderahiej . |
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-JDu-Tzey espace dui
q/iwn nomme, des CjwJ/jc/iis
JLuê*s ^dncien^j· fejantdrirt/i^ruur a& ûe& ûma^rtù,
huù &Jtir/r ■'&ntrelaj\ dd ez&tiejc loftectioœ, atoTP-cUteJ bari? atea, auL· rrijzrcirteriò CO7ztinii£^L^ni^jTj:,a,iJ7Ze^ dd-tar rall&l&, et ejj-aU, alezu^ Lecreze^Lf^, auec eletteJxMtìiaro,qiiab ι *> tt ' :./<ρ :.-7 κ
■LeuTir reicrufi? eta^Lew^zf jriizrfex£wrij,us eia ottettistato*
lourd- ivrnter JwnaL·, droit. Jans celer lu rwfiimxtJ des arare'-,eùjçnt Lroiiai^d J.L il ero^^iyruiem^&^. ettar erye τ& d^iin^ ary ,α/ur edt evdnrd^udrbemd^ ritratte moiïLs r&frijyiAi^^Ort bi&rtdorh^^ou^/et^œcui^i^ès hoir
e4f&i.L&r Ληοιετυ Us appoictitateÂit orduieoorejtterttrttr dej mfj^nbrej draU^^eJjpfa urtepLce.. Mo terri rnwr ewm&^cûtW^oiu^sJ^1^ ^fap^^^ c^ u4rcnitreiu£j.t
etiEirtotu^ cL&srporlej, et /un lea jjluitiie^s a&ï Beuej auand
Luc ία redi M: LexardJrOtzèd 'zidS^ encore air tarer- d^j 0ui£^7%Mi·..„ |
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yf
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ÏÐ cl cnb out^ ceMe pianelle pour ßí±ßáÝ& á& ceucc qui
liront ce aure, sons connoitrc Us membres de UCtrcnùtee- , ture dont on ï ãáôß/, et comme onnopas du se dispenser d& se senior de ces termes, dont Lo connaissance eJt au- tant curieuse ente necessaire, on ojxujé apropos ctu aajojh- ter XeocplicMiion cU ces moia difficiles et IranLrores ,ñíôç /', en^rendre Lvsaqe plus larnzlLer. djoueme, Cy/riais c, óôï Gueule droite, te/ mot de Qù-
nuhufc uienb doc Gtcc œznia^ùrv, acci Jiqnirte Lcticpe- ' nie ïçïß&,ññóçç marquer Lcl Jnvunsité de jojl contour, il ã eu ce oie dervoc Sortes7lune, cLorvt toportie dlcrdwut est concaues, et acce se nsoircrnc gueoL· droite, ou 20 ou— cône; et loutres, dono Lo partie dlcnliaut est ccrmceoc, et; quo se Tujrnjri& Talon, enrcizceode rennersee. ce mo t ct& Grueiue ment de, Lltanen Golo, qui JzorûAc ßï Gary c.v. Joisteozc^ nleé^ Qriet/ onpetd qciaré, chrt troc p~etute IrancU
cpcbnoruvt danà Les rrunnurôàr . One, vouoio, creuvrt de renio, E clune sont Lo mesne
eli0seJ éþ Itulzens ïçøäÉÉâçõ VodwLo soit ò caiue que ce rnernére dur'chùteeture reficJTune oun œuP, on parce- quzl ï vne -finirne ovale, uv JFrancois quart de rond ócanse de so nour&p Les Great Lappôlioientj^^cnos qui JiMuifie vm hes^Îsson; pareeque ce, rnernlf-re, Lory- quïl est iruMe'de JcuLptirre, a, qirelrrue cAosc quo ap- proche eie bzsjhryne dzerce cAntaiyriey cl demi/ en- -fierinee daruson ecorce piquante, qwù rdrejrdrie owi kenùson '.. L·oûronréey,Eorrnler/ oie Goutiere cestunyiTiesnvrede
Lo Cn^rvicAe, (jtjo sert ojorre écouler Cecur Loue die mur. U>- Ijotonj ùàppellervt: Cororuic/ on Coppelle g'autiere, cru/ |
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Lorrruer par ropporno/Jéan, eque tamle pror qouttes,
ou-por larmes. OnapqrelleMouchette, Unetit relwrdque pend ouljorrruer des Cornùdies'. il est fart afin otreliée ]^anriejJiusse crruler plu /ras. Fctruue liurc ë cAap~ % Lappelle Mcntorrc. |
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JVloddlons/σα Coidreauœ, ce sont deJ pièces qttù Jdunrt-
cent jcxuj L· jAaJbixcL desCornichcà\n>aur em/JorUxjrir La dazliie. lef lùurens l&f nonanent Mo cbjjtîorcL·, et Les L·coûts WLanles dee venire. L^lzabdcu^c, jroxer représenter le btrwt cL& cJww^ons ητηήίέτ et couqres. -Astrcu/ale, vient dn irurtaqt^jakos, qua k/zûtl^L· L· talon
acaule de Icl reê''errurldnee dû ce- rretitrrcemorc d&rcJiL·-
teetwrc d La rondeur cUv taloiv . -Les cnwriert LapjreM^cnt
le Ckarrelet, quand on Le tedile enrcnnTie de petitzr acndes cm
crains de cnem^ciet cruiies .
jDeniiczile zrt&rvb στο JLaide Dmticuuià, aeause quHL rest
semJyU' à elea denta .Les Itedêens ÎaptrelLent D enJveito are . derudeod, test vrenrerrdre quarre et recozarejaar toîus : eruaULes, qieon ne doit mettre que dans La Corriudie Ionique etCorznxnzenitc.V^ C.7,.1.3 .apne/Ie nretocke Lespaee rasade qus&tmiró cizaqzcc iD"esuicnL·, csnrune aduy qutest en? tre Les InuqîypLies, se nomme rnetajre . 1ιπ^σα/ττΙΐ£/.τ0Χυψο^ cJestadn^e que\'cutrou qrcLzreureo, soit
que cet ornenurit en art La vateur de troia, deiiec entiereà daris le rniLica,ct denœ cùnnies Jirr Les cotés; on bzen aaeun se q un Laisse tròia esjraceé entre Leo grancurcó. Cette mar- tic creuse J^dvjrelie Cannelure aa coche, et Lesqraee entre les Cajuxeuired je nsarronte en Grée μητρ·?, jnzF les Latins ^fe- rmar, et en dnruxJis l'arrd>■&<, Cuisse, Coteé oie ListeL. Mewne, c'est Lésnaae civtre dense triaiupries r d trient de dense irwts Greca μετά et %πη, comme qm: dir aitx entre Lestroijj.narcenue Luì irvfturtfteJ sont Jimnadex être aies nateti es qiu reoiap tissent des irons . Jomte ore iridjonA' ,7iornnzej?a:r ULatinj LaeTcnan, est
Icj dessoTu de ce qzii è^ t Jiuveneàetce>irime L· J^ojpite dim arcnxtrazte, ou, celiu/ du Jbarmier . JjaFrife estàppcuce j)ar' téd Grecs Zovhvrooy Ckst adire qui
jjortc deà diaures clarùrnaueù-iPhilander croit que notre mot "défrise x/ient dn laznt^fir^io qui Jj^tuAc dond^oii^efz rrai^ ceque Leà Irradeun/ re^yr^eniimtva, ùqzcUe des asiuriaux, de/ pnrntes etstoirùt autre eJiase dont an orne les drues. ArcAitraue eJt errrrijoose dM^nzot GrecΛα^^; qui· vent dire l^inrnnnù, et dir mot latin in od.s, qtec Jiqizifîe wicPonfrc,
f , ^ comme
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comme que'dirait. Urj)TiJaewaL· pcnetre.les Grées lappici
humt εττ/ϋτυλισν que Sipnirìe jrcnré sur la ceSaivntcnoiiS .: Kçe^^_^ ^i^i^>z^^ Poitratd οτν SûJsalere. ; ^itrcLqae au Clv^Ueau vient a% mot Grec αΕαΙξ σιι a βάκων,
qui Jïpnàfiêvri dauozr cnrtraieJroir qitarré.jlrepreseivte dans tordre Corurtnien cette taillequi caïuiiOTtce panier autour dit quel Sortaient da< fizulled cL^acanthe.zroapevz ru^ dessus ρ cip e Si Les ouvriers L'appellent œrnrrumenzçntw nuiturir, redole vient du venire ν auto qiu Siprdllc tourner, elle
représente les bcaieles des cAeaeucc qiuipendazentau co'- te'du visaae des femmes fu^uue lion nelle encense Pulvi- mis orestler acause quede représente vn oreiller -pubde? entre IttJraque et leeÀuze, cumnxesilon auuntpeza^ que, Irw es ardeur de· Lalramee n.e rompit b^ennac,!;. Ά > Murer ti [appelle coquille, ety nos ouztrzeis limax&>* acause de la<..T$.. jennJ/laniese qulds ont a lu cv quille dure lirruhcon>,. Cadiete desia volute est un mot Grecyafero? qui JinuSie vueperpenu^enlan^e, ouliane dqjlorndr. cette liane piasse ψ an lodi du lu volute, et sert ci lu décrire . - Jjed petites valûtes, quainmet au irdlzeu du cuapzteaui Corinthien,> Scoop ebleirt hctlces, cest arare enivriillceó. CaadieSleJ,CaxSjtult Su^rufientoie^potites tip es, elles sont
orantairenient cumulées, et quelquefuis tarses d tiendront aii elles œiunresuerct u letton les ^Jeituies qui produisent et Souatermtnt les zraïutes. elles ont vn lien enjvrrne dame double ariuonne . Galbe, on dit quint mcrrujrc ou morceau darchitecticrc
se termiste enfariné deGallre, lurs quii Solar ait douce nient qran en liaat eûrurnc Lyjcautles dune fleur. quel- ques vns essayent que Ion et ait aal/re au lieu alcjqasde, et quid vient de garbato des Italiens. iLcFust* au la tipe ale un colonrio est appelicè peu
\Uo Latrns Scapus, et le rrurt Uè juste vientapqaarernrne, du liidniustù, qui JïqniAe vn belimi,Cedua eie endolasie vient de caûinzeii,qui Suqnifìe le doiriean, ou picce de bois quisepose a ρ lo nul et qua Soutient lèdkiàxpe duu /ratimcnn appelle CuSsaieri . |
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SS -.,. ■-.^~immmmt>*!
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9
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Jucj: CcumudrœeJ crerureej le loin}\ dej ùçrîoTuzeJ cuniuimòre
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d&j&
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ψ,
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et gcuducue unJ dcuuxntzicj[e,jo7zt cippeueeJ pur LeJjbd
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tbnj, StriqeJ, et teàpecce jrteirc otr Lùtei ecztre cluzauc Cccneua^e,
JtruL.IjCL cii^erenee, qui eJt entre IeJ CcmrudurcJ OoriqncJ etlorciqiiejç,ctJtaise, biJ^renrhiercJ sont^c^z/ùze arp*&,èdteJ curtrej ontx>n Lutteur entrée cMeJ · :ΙΕτψ&ρ€>λ Corwe occretnctite eJeJt vn-trcut cemeecue qui jovxt
Lerucd delà é^?7?7M^^^,^^^^^776^ji ÙAap^iizazu. Lej^ GrecJ Lcmjo-eflait curofujn qui u eut dire fuite cuxucsc que ïçi ρΰ- Lonne Portant idrrr^leb de Sec heure e>ornrrieriee ci monter eu cl eihecprr ere neuct .. Hcusc trient cite Grec paeruf, C'eJt ciciire iempuu, Le Soutien
cmLepidicUsCjzulcixio cltoJC. elles eu oui iriuerctee Sur Lccciicuc- ssuredea fcmrneJ \ À ore, en lutin ToruJ, Siqirzfïes i^-n^tit, ttl^UzIcU , cm lrocire>- letiLco areni cuxruzoucx dej IrcLseJ jont ecppellej curury ctecue- je de Leur fwea^e. drurtreJ L&forrt veneu^ dru Grec rfem, que Sùqnifie un tour d tourner en rcrnjl.purete/ue le toro Sari hterys azroir été tourné. L eJ ItzdicriJ urpp client oeuton, cet ntnf ouzirietd rondcru l·ο sel- Qzielquej cmj durent qu&leo toreà représentent LeJ eerclej dey fer, c^rutonJort^cntLeJ eec- trerrdtèo dej troncJ cldrbreJ, ατή Sernoicnt d Soutenir LeJ maironJ . ò cotte, cicâ t ht peintre creuse qui eJt entre deux, toreJ;le
nuit Greo a^u'œ SrunrfL· obs^curiti,ρeuxexjuelle est adonece décru Lev heure, et Lure^ennuLriJZue quelle ce cucce unepenuiey Lut/ ce fût cloizna* Le tzom de tcpùqXos . on /ce rurrne lUzcellc enp"cutajij ce cazuc de jcu ceuuité;ore rwrn?7ce cauttsLmriui tid de Lee Sco tt&. PUntLiCy ett un rrterrdrre epurare etpleet ccpuzrllc nkìvfos,
qui Siuninevrus brUjcce^oit ce conce de sec figure ou qzief y^fczu2m^/7;£ LeJ cuzpierhi y, rnusera: dejiBincnieJ, Leà Itttli&TJ lapptilart orlo, et enjrcutcoij orie* et encretetorc nornrrzc PLizLtLie detnj le crduzpiteern Toscan ce qu'on eioiurueTcud=. Lûirj auru Lcj cuctreJ. oatxmze,oivse sertdtee terme pour dire vne irwzdureen
SeiuLie,iL xdent de Ldtcilien J aco mec . |
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100
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Piala tali crui St^wèettc vient de òõÊïâÜðõ, óôç dianlpc lccp-
íÀßã Oùlùc Sodctmt d'une Ldlonrie, et Sterceriate car çeiçêœms J-upufLe'/ti ¹ as e de tout l edifico, que étant int Tmcr élevé ait des- sus dictez de idiausséc, pour Sautenzr les Lnlonriet-som-Statu- iate. Pmraie en pœrL·atOjtrozsiafie duwrtre dttraineme livre, et 'iliwntme oeamuiL impares les Pzenestanec rècaiepés enfirr/ne da-. cadeaux,, atee sortent aie deliois des enirceedoizTtes, et ce qullanvd d Tnaieas, tronc, cest tespaee aire est erette de Base et de Corni- cile aia, Pjjnles tati, que 7ios Ctwnrzers appellent~ deou quecrrd.r-^->y Che a/ait des Piédestaux a\'. yitficnes, an rapport de derliò, dont dauorrcest dnrunzd par le liant al In /TnniieJ^e des tiedonmes et InpraMujue & ñ lits crrdznazre des rincleiTS eddtde Jielezn^vomt derjiTter de Base, comme óç í oit an Tkcatre de dlPar^eeuns ce Bonne. ·■ ,'■', |
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