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DES OBLITERATIONS ARTERIELLES CHEZ LE CHEVAL
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Depnis longtemps les accidents resultant de Foblitöratioa des arteres chez le cheval avaient lixö mon attention pour etablir le diagnostic difiamp;entiel desboiteriesintermittentes du train postärieur.
Des que j'avais commence ä diriger mon attention sur les thromboses, j'ai eu l'üccasion c'e constater leur presence non seulement dans l'aorte posterieure et ses terminaisons, mais egalement dans les arteres carotide, grande m^sentärique et leurs ramifications.
La relation fort interessante de M. Ad. Seul, rep^titeur h TEcole de irJdecine vetörinaire de Curegbem, intitulee: .Boiterie inter-mittente due a la tbrombose de VarLere iliaque', et pubüäe dans le n0 de juillet de 1882 des , Annales beiges de medeeine v^rinaire1, m'a engage de soumettre aus yeux de mes confreres quelques observations relatives aux obstructions arterielles. Quoique la matiere h. traiter ait döjä des ainöes, je suis de l'avis de M. Beul qu'on ne peut donner assez de publicity aux observations dans lesquelles les obliterations jonent le role principal. La Symptomatologie de cos etats morbides n'estpas tonjours presente ä l'esprit du praticien, parceque ces processus sont relativement peu frequents. II en result e parfois une fausse appreciation du siege, de la nature et de l'extension dn trouble morbide, car les signes exterieurs sont souvent trompeurs.
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Dans ces cas spächnz, on ezamon superficiel peut faire considärer le malade comme peu gravement atteint, tandis qu'un examen sörieux, basösurla science el Texp^rience, fait reconnattre les lesions graves. La reconnaissance des ätats morbides, suites de Toblit^ration vaacu-laire, n'est non seulement d'une grande raleur pour le praticien, mais ^galement d'un grand iuteret pour le propri^taire de Tanimal. Cet animal constitue un capital que le propriätaire cherche ä exploiter le mieux possible. Si le siege et la nature du mal sont mi-nutieusement ätablis, la dur4e et Tissue probable de la maladie dont Fanimal est atteint, ainsi que la depreciation, qni en est la cons£ -quence, sont d'une grande utilitö pour le propri^taire. II est en m6me temps pramp;nuni par rapport ä l'intervention de certains syraptömes Du de certaines complications qu'il peut äviter. La maladie derant se termiuer fatalement tot ou tard, il sera raraenö ä pramp;erer le sacrifice imm^diat de son animal ä un traitement dont le succös est n^gatif.
II est acquiä k la science que les arteres principales du corps peuvent etre plus on moins completement oblitörfes dans une partie de leur trajet sans que la circulation en soit derangfe d'une maniere funeste, si l'oblitäration s'effüctue lentement et qu'elle permet aux vaisseaux anastomatiques et collaWraux de se dilater et de foumir ä la nutrition des parties interessöes. Quoiquela circulation du sang, rötablie par les divisions arterielles et les anastomoses soit süffisante quanl l'animal est au rep^s, eile devicnt insuffisante quand l'animal est soumis ä un exercice par lequel la circulation est ac-tivöe. Dans ce cas la lumiere des divisions arterielles no suffit plus pour amener dans le trajet, dessorvi anterieureraent par le vaissean principal, le sang n^cessaire, la circulation est arretäe, la stimulation inteiTompue et les troubles fonctionnels en sont la funeste consequence Apres un repos plus ou moins prolonge, le retour de la regularity des fonctions se fait grace aux arteres restles libres. Ce calme apparent dispaiatt de nouveau si l'animal se trouve de re-cbef excite par le service; les memes troubles se produisent dans la meme succession et avec la memo intensite.
Quelle que soit l'artere, siege de l'obliteration, on constate des troubles dans la myotilite, dans la sensibilitd, dans la circulation, dans la calorification et plus tard dans la nutrition.
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Ces considerations ätant posies, il ne me reste qu'ä citer les observations qni m'ont Bngqiri la publication da präsent travail.
Claurlication intermittenle due ä Vobliteration de Vartere ilinque interne gauche et de ses terminaisons.
Parmi les boiteries intermittent es dues ä une thrombose que j'ai pa observer, il y en avait une d'un grand intäret et dont j'ai pa suivre la marche jusqu'ä la mort et verifier le diagno?tic par I'au-topsie
Le cheval dont il s'agit et ait une juraent de valeur en pleine vi-gueur. Elle me fut prösentöe avec laquo;ne boiterie coxo-f£moraK Des frictions irritant s et des donches d'eau froide remirent apparem-ment le cheval qui pendant quinze jours consöcutifs fut soumis a un travail l^gor. Un jour cependant, la boiterie fit son apparition avec un cortege de symplömes tellement alarmants, qne je rösolus de le soumettre a une öpreuve afin de me convaincre de l'existence da tableau symptomatologique trad par le condncteur de ranimal. D'apres les renseignements fournis par ce dernier, le cheval, atteW ä une charette vide et apres avoir parconru an pas un trajet de dix minutes, prteenterait ('es signes analogues de forme et d'expression symptomatique avec la parapldgie. Attelö h nne charette vide et mis en mouvement ä Failure du pas, ranimal au bout de dix minutes mauifestait une gene dai.s ses mouvements, la marche deve-nait chancelante, la croupe s'abaissait, le membre postörieur gauche etait trainä comme un appendice inerte, la peau du corps et des trois membres sains se recouvraient d'une sueur chaude, ruisselante tandis que le membre boiteux restait sec, etait insensible et froid au toucher. Les vaisseaux souscutanös de la partie antörieure da corps ötaient tres-d6veloppes tandis que ceux da train posterieur n'ötaicnt pas visibles. Le pouls ätait plein, accelerö et pröcipil6, les batlements da coeur ötaient tumultuenx, la respiration etait bruyante et la phy-sionomie trahissait une grande anxiöt^. Je (is reposer le cheval pendant un quart d'heure et le reconduire avec precaution ä IVcurie. Les symptömes de cette souffrance aigue se calmerent peu ä pen, la respiration se ralentissait, la circulation reprit son rythme regulier, la sueur se s^cha, 1'expression de souffrance disparut de la 1 liysionomie, le membre boiteux r£cup6ra sa motilitä, sa temperature et sa sensibility an bout d'une heure ranimal but et mangea
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avec aviditä et pr^senta iontes les apparences de l'dtat normal. L'exploration de la cavite pelvieiine me revela des battements trem-blotants de l'artere iliaque interne droite, tandis que l'artöre corres-pondante gauche ne donnait aucune pulsation. Cette derniere, plus dilative que normalement, du volume d'un petit doigt, se presentait au toucher comme un cordon irregulierement bossele. 11 en amp;ait de meme des arteres obturatrices et de Tariere iliaco-f4morale. Je fis part au propri^taire de Tincurabilitö de l'affection de sa bete et lui conseillai de l'abandonner ä la boucherie. Le proprtetaire, tout en se rendant ä mon avis, voulait Teraployer encore pendant quelque temps pour les petits travanx ä executer autour de la maison. Nöan-moins un jour de presse ranimal fut altelö ä uue voiture vide pour faire un trajot de vingt minutes. Arrivö ä moitie chemin, les symp-tömes d^crits plus haut se manifeslerent de nouveau, mais cette fois- ci avec plus d'intensitl
Me rendant immödiatement sur le Heu de l'accident, je trouvai le cheval ^tendu sur le sol, il se plaignait beaucoup, les yenx ötaient pro^minents et tournaient dans leurs orbites, ur.e sueur abondante inondait le corps excepte le membre postörieur gauche, le pouls 6tait petit et pröcipite, la respiration acceleröe et saccad^e, les battements du coeur violents et iutermittents. Le cheval fit de vifs et vains efforts pour se relever, les membres ant^rieurs se portant en avant, servirent de point d'appui, mais tout le train post^rieur resta inactif. Le malade fut mis sur un traineau, amenö ä l'amp;jurie ou 11 expira une demi-heure apres son arrivee.
Lösions cadaveriques. A l'autopsie je rencontrai un öpanchement sanguin considerable dans la cavite pectorale, du ä la rupture d'nne dilatation anövrismale de Taorte antörieure au niveau de la dixieme vertebre dorsale. Getto tumeur, dont les parois ötaient composes de matieres calcaires et ossifiees, communiquait avec Taorte par ane ouverture streite. L'artere iliaque interne gauche, les arteres obtu-ratrice et iliaco-fömorale, qui la terminent, ötaient foncäes, noueuses, dures et du volume de moitie plus grand qu'ä l'^tat normal. La lu-miöre de l'artere iliaque malade n'etait pas complitement obstru^e, tandis que roblit^ration amp;ait complete dans les arteres obturatrice et iliaco-f^morale. Les parois artdriellesavaielbt augment d'dpaisseur. La paroi interne de Tariere iliaque ötait rouge et rugueuse A cette
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paroi Ätait accoW nn caillot cylindrique, tres-ferme, d'un gris jan-nälre, ä surface lisse et luisante, d'une ölasticitö marquee et formö de couches concentriques. Les caillots des arleres obturatrice et iliaco-fötuorale presentaient le meine aspect; ils etaieut aiherents aux parois desqnelles ils etaieut difficile ä detacher. II y avait en outre decoloration des muscles internes et moyens de la cuisse, les fibres ötaient pales et beaucoup plusconsistantes qu'äl'ötat normal.
Affection epilepti forme ches un chvval determinee par Tdbliie-ration de Variete carotide primitive gauche, de la carotide interne et desesiranckestermin les Uncheval d'une bonne sanW apparenta fut vendu ä diff^rentes reprises, parce qu'apres un öchauffement plus ou moins intense il fut pris d'attaques epileptiformes. Consults sur cette sioguliere malaiie, je conseillai au propri^taire de faire atteler le clieval et de le soumettre en ma presence h I'exercice da trot. Apres une course d'une demi-heure, j'ai pu constaler les symptömes suirants: Chancellement, chute, mouvements convulsifs caracterisös par des contractions muscnlaires saccadees, pironettement des yeux, have äenmeuse dans la bouche, perte moraentanäe de toute sensation, respiration anxieuse et difficile, pouls plein et accelöre, conjonctive ä injection capillaire tres marquee. Vingt minutes apres cette scene, l'etat du malade Üait calmö Le cheval se releva lentement, le facies höbötö, les oreilles pendantes, les yeux fixe?, ä demi-clos, les mouveraents raides et bientdt tonte trace de d^sordre avait disparu.
Les symp'ömes intermittents de Taffection et leur analogie avec cenx produits par l'obliteratiün des arteres du train posterieur me döterminerent ä reconnaitre comme cause de ces troubles l'oblitö-ration des vaisseaux alimentant le cerreau. Je fis part an proprie-taire que la maladie de son cheval ätait incurable et l'engagea ä s'en däfaire. Le cheval fut vendu ä vil prix et quelque temps apres livrä ä l'abatage.
Autopsie. L'artei e carotide primitive gauche etait oblitöröe. Cette obturation suivit la lumiere de la carotide interne, des arteres cä-rebrales post^rieure, moyenne et anterieure. La lumiere de la carotide primitive gauche 4tait encore assez grande pour laisser passage au cours du sang. L'obstruction 4tait complete dans la carotide interne et dans les branches terminates de cette artete Le caillot de la carotide primitive etait accol4 ä la paroi interne de cette der-
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niere, cenx des autres arteres obstru(?es 4taient rortemeut adherents dans toute lenr etendue.
La compression exercee par les vaisseaus oblit^r^s sur la matiöre cär(?biali- peat done et re invoqu^e d'avoir produit la manifestation des symptömes öpileptiformes.
Coliques dues ä Vobliteration des ramißcaHons de Variete grande mesenterique.
Arautopsie pratiqude sur plusieurs chevaux morts de coliques, j'ai pu constater 1'obliteration des ramifications de l'artere grande mesenterique. Ces ramifications ätaient ^galement le stege d'un certain nombre d'an^vrisraes vermineux. Ces anövrismes doivent leur origine d'apres Bellinger ä la presence de vers, du strongylus ar-matus, dont la presence est p)ur ainsi dire constante (quot;ans la caviy du vaisseau dilate ainsi que dans lo caillot obturateur des ramifications arterielles, soit sous forme de larve, soit sous celle de ver developp^, soit sous celle de döbris. Ces obstructions cans le cou-rant circulatoire deterrainent des stases sanguines qui provoqnent l'eng irgeraent, rhyp^mio de la muqueuse intestinale in'^ressöe, un arret du travail de la digestion et paralysie de l'intestin. La gravitö de cette paralysie depend de l'etendue de la thrombose et de la possibilite de rötnblissement d'une circulation collat^rale, de la qualite des fourrages et de la plenitude des visceres.
Los symptömes g£n£raux, manifestes pendant la vie des chevaux morts ä la suite des thromboses et anevrismes des ramifications de Tariere mamp;araique, appartenaient au groupe de ceux qui caraetd-risent les coliques en general. Comme signes sp^cianx, on peut citer l'appirition subite et iostanlanee d'une agitation intense, la diminution de la temperature du corps, Tintermittence dans les batte-ments du cojur et dans les pulsations, l'injection rouge-violacöe des conjunctives, l'aiixiete extreme, la raideur de la colonne vert^brale, la meteorisatiou et souvent la constipation.
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He'nie inguituxloiitraiujilie.—HernttkoiuiesoHS-cutaÄee ; par GIi.-Sikokn. Luxemboui^iraprknerie Sch hbU ; 1873.nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp;' •
Consideramp;tiens goiiSrales sur les animaux el les ciaiiites dc boucher-ilaquo; ; pnrCti. Sif/.tEN\ liege,'imprfmepie Fe9traerts;187ß:. .
' Appramp;biution des riandes -de boucheric et des pröduUs He la charcuterie; #9632; pnrCh/SiEGEN; Lidge\ impvimerte Bertrnnd;'18,78.nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; v **
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Elements d'analyse chimiquc et micrograpkiquc applil/ties a la diagnose des maladies des anitnaux doinostiques,pav le D' O. Siedamohotzky et le t)r V. Hoefmeister ; Iräduil s par J .-M. Wuhenksl et Ch. Siegen. 1881, Bruxelles et Luxembourg^ ehez les tradueteurs. Prix: 7 fr. .,
Inspection des denriesalimentaircs ; par Ch. Siegen . Lou vai n, i mpri merie de H. Van Biesemet A. Fonteyn; 1881.
Dispositions reglantlc commerce des animaux doincstiques Aansle Grand-Duche de Luxembourg et dans !es divers pays, sumes de documents qfiflciels relatifsa la police sanilaire du belaii dans le Grand-i)uche: par Ch. Siegen. Luxembourg, librairie V. Biick;4881. Prixi 1 fr. 25.
Die Thiersucht, yon Ch. Siegen. Luxembourg,flS81; imprimerie Joris.
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Bericht über die Pasteur'sche Impfung gegen Milzbrand in Herri;, von Oi. SiEGE;N, Luxembourg, imprimerie Jos.Beffort; 18$2.
A propos d'une alterauon.de viande de. boucherie, reconnaissäble sewfc-raquo;wraia^rdstecKwsolaquo;, par CIk Siegen. Britxelles/imprimeriftBrognio/ etVande\Veghei4882.nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp;. 'nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp; Anbsp; nbsp; nbsp; nbsp; nbsp;'#9632; . :
Rapport sur le sereice veterinaire dans le Grand-Duchedt Bade., par , A. Lydtin. TraductiooanalyticfvrepärCh. Siegen. Li6ge,;injprimerie G. Bertrand; 1882.
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