LE MARTYRE des ŒUVRES DART
GUERRE CIVILE EN ESPAGNE
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VIERGE ET ENFANT. — Bois taillé polychrome du XVIe siècle.
Statue mutilée : les yeux ont été/arrachés. (Eglise d'Oiias del Rey, province de Tolède.) |
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L'i LLU ST RAT I O N
13, RUE SAINT-GEORGES
P A RI S |
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JANVIER 1938
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PRIX : IO FRANCS
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LE MARTYRE
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DES
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ŒUVRES DART
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GUERRE CIVILE EN ESPAGNE
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Documents rassemblés par les services
photographiques de Salamanque dans les zones actuellement au pouvoir des armées nationalistes. |
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L'ILLUSTRATION
13, rue Saint-Georges
PARIS (9e)
1938
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La sépulture de D. Pedro Vasquez profanée et brisée (terre cuite vitrifiée, XVe siècle).
(Égiise d'Aracena. — Province de Huelva.)
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Pour la troisième fois, L'Illustration consacre un album à la guerre d'Espagne.
Le premier avait paru en août 1936 et le second en janvier 1937. Ils relataient l'un et l'autre, dans leur ordre chronologique, les événements politiques, militaires et diplo- matiques qui s'étaient produits depuis juillet 1936, date de l'insurrection nationaliste, jusqu'au moment où l'offensive du général Franco se cristallisa devant Madrid. Pendant toute l'année 1937 et le début de 1938, la guerre a continué sans amener de décision. A l'heure actuelle, deux Espagnes sont en présence, qui aménagent leur organi-
sation intérieure comme si elles devaient subsister toujours. D'un côté, l'Espagne blanche, qui couvre les trois cinquièmes au moins de la Péninsule et contrôle toutes les côtes, sauf celle de la Méditerranée, de l'ouest d'Almeria à la frontière française. De l'autre, l'Espagne rouge, maîtresse de la Catalogne et du territoire compris au sud ou à l'est d'une ligne jalonnée par Teruel, Madrid, Tolède, Talavera de la Reina, Zerita, Grenade, Almería. Cette stabilisation a permis de prendre une première idée des désastreux effets de
la guerre et de la révolution, que l'on ne peut séparer. L'Espagne, depuis un an et demi, a souffert de son sanglant conflit plus qu'elle ne l'aurait fait d'une invasion étrangère. Les guerres civiles sont souvent plus cruelles que les autres, surtout quand elles opposent des idéologies et qu'elles excitent des fanatismes, comme c'est ici le cas. C'est un autre aspect de son martyrologe que présente ce nouvel album. Il ne s'agit pas, cette fois, de cadavres épars dans les campagnes ou dans les cités,
de victimes des représailles, non plus que des ruines lamentables accumulées par les bom- bardements, mais d'oeuvres d'art qui, à ce titre même, n'appartiennent pas seulement au patrimoine de l'Espagne, mais à celui de la civilisation universelle. Ces œuvres sont presque toutes de caractère religieux, puisque l'Espagne, au cours des siècles, a été profon- dément catholique et que la religion animait toutes les formes de son activité spirituelle. |
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C'est tout justement ce caractère religieux qui a déchaîné contre elles un vandalisme
destructeur. Les images que nous reproduisons ont été choisies parmi plus de 500 provenant
de quatorze provinces, à savoir : celles de Cadix, Avila, Huelva, Badajoz, Cordoue, Guadalajara, Tolède, Malaga, Grenade, Madrid, Biscaye, Gijon, Santander et Seville. Ces photographies ont été prises par les services du général Franco au fur et à mesure que les armées nationalistes ont occupé les provinces en question, Mais les dégradations, les mutilations, les profanations dont elles portent l'irrécusable témoignage ne sont pas dues à des faits de guerre. Il est malheureusement inévitable, lorsque la guerre sévit quelque part, qu'elle n'étende ses destructions au delà de son objet immédiat. Des édifices sont bombardés ou incendiés, qui peuvent être des églises, des sanctuaires, des monuments historiques, et les richesses qu'ils renferment — tableaux, sculptures, objets précieux de toutes sortes — partagent leur sort. Tel n'est pas le cas pour les documents réunis ici. Ces œuvres d'art, en quasi-totalité, ont été mises dans l'état où elles sont d'une façon volontaire, systématique, sans aucune nécessité militaire, loin de la zone des combats et, le plus souvent, à un moment où les gouvernementaux étaient entièrement maîtres de la région où elles se trouvaient. Les dirigeants républicains — de Madrid, de Valence ou de Barcelone — pourront dire qu'ils n'ont jamais voulu cela et que c'est contre leur gré que des individus isolés, échappant à leur contrôle, se sont livrés à ces attentats inqualifiables. Cela est sans doute exact. Mais les mêmes faits se sont reproduits trop souvent et en trop d'endroits pour ne pas trahir l'exécution d'un plan concerté. Les vandales n'ont pas cédé à une brusque et inconsciente frénésie. Ils ont obéi à des ordres reçus des comités soviétiques locaux, qui s'étaient substitués aux autorités régulières, et qui eux-mêmes, sans doute, se conformaient à des instructions venues de plus haut, sinon de Madrid, de Valence ou de Barcelone, du moins de l'internationale communiste. Il suffit, en tout cas, de regarder ces Christs ou ces Vierges aux yeux crevés, ces toiles ou ces panneaux de bois lacérés par la pointe des baïonnettes, ces statues ou ces morceaux de sculpture rageusement brisés, alors que les murs qui les abritent encore ne portent point la moindre trace d'obus ou de fusillades, pour se rendre compte que la guerre n'est pas passée par là et que la révolution seule est en cause. |
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Panneau en « azulejos » des manufactures de Seville (XVIIIe siècle)
représentant saint Dominique de Guzman, brisé à coups de marteau. |
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(Gibraleon. — Province de Huelva.)
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Détail du sépulcre de D. Pedro Vasquez. - Statue du XVe siècle en terre cuite dont la tête fut cassée à coups de marteau.
(Église du château d'Aracena, province de Hueiva.)
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Grand christ taillé dans un seul bloc d'ivoire et qui fut mis volontairement en pièces. (Hôpital de Tavera, à Tolède.)
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Statues mutilées du cimetière de Salobreña.
(Province de Grenade.) |
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Statue lapidée du Sacré-Cœur,
(Église Sainte-Marie, à Baena, province de Cordoue.) |
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Saint Antoine. — Sculpture en bois dont la figure a été tranchée
d'un coup de hache.
(Église de Parrallas, province de Tolède.)
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Saint Roch. — Sculpture en bois
mutilée à coups de hache et dont les yeux furent arrachés.
(Église de Calzada de Oropesa, province de Tolède.)
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Restes de statues brisées et brûlées ensuite. (Église de Piedralaves, province d'Avila.)
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Deux têtes de bois sculpté et polychrome du XVIe siècle. — Fragments de statues mutilées et arrachées du maître-autel.
(Église de Ronda, province de Malaga.)
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Vierge d'albâtre polychrome Statue.de saint mutilée et portant sur la poitrine
jetée dans un jardin par une fenêtre et qui se brisa dans la chute. les lettres F. A. I. (Fédération anarchiste ibérique).
(Couvent de la Conception, à Tolède.)
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Vierge du XIVe siècle en albâtre polychrome qui fut mutilée à coups de marteau,
(Couvent de la Conception, à lllescas, province de Tolède.) |
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Saint Bruno. — Sculpture sur bois dont les yeux furent arrachés.
(Couvent de Saint-Clément, à Tolède.) |
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Sculpture sur bois d'un saint franciscain mutilée et aveuglée.
(Couvent des Soeurs de la Conception, àOropesa, province de Tolède.) |
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Tête de Christ, du XVe siècle,
séparée du corps par un coup de hache et dont les yeux furent arrachés.
(Église de Calera del Leon, province de Badajoz.)
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Tête de Christ sculptée sur bois, du XVIIe siècle,
mutilée et aveuglée. (Église de Maqueda, province de Tolède.) |
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STATUES AVEUGLÉES
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Saint Isidore. — Statue de bois du XVIIIe siècle recouverte d'argent et servant pour la Semaine Sainte.
Œuvre complètement mutilée et dont les yeux furent arrachés. La statue qui lui faisait pendant a disparu au cours de l'incendie. (Église Saint-MIchel-le-Grand, à Moron de la Frontera, province de Seville.)
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Saint Joseph. — Bois polychrome du XVIIIe siècle.
(Église. d'Escalonilla, province de Tolède.) |
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L'Immaculée Conception. — Statue du XVIIIe siècle.
(Église d'Aracena, province de Seville.) |
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Statue du Sacré-Cœur.
(Église de la Trinité, à Ronda, province de Malaga.) |
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Vierge des Rois. — Bois polychrome du XVe siècle auquel manque
maintenant le corps de l'Enfant. (Cathédrale de Malaga.) |
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STATUES MUTILÉES A COUPS DE HACHE
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Quelques restes de statues brisées ou brûlées.
(Eglise du Sauveur, à Cartagana.) |
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Vierge du XIVe siècle en pierre polychrome.
(Eglise de Baena, province de Cordoue.) |
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Saint Jean-Baptiste en bois polychrome du XVIIe siècle, mutilé à coups
de hache. (Collégiale de Ronda, province de Malaga.) |
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Vierge de style baroque dont la tête et les bras ont été coupés.
(Eglise d'Olias del Rey, province de Tolède.) |
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Le Christ de la « Buena Muerte », sculpture de Pedro Mena disparue pendant l'incendie de i'église Saint-Dominique, à Malaga.
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Christ gothique mis en pièces et dont la tête est séparée du tronc.
(Eglise Saint-Julien, à Santa Olalla, province de Tolède.) |
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Détail d'un christ du XIVe siècle, entièrement brisé.
(Couvent de Santa Isabel de Los Reyes, à Tolède.) |
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Le Christ et le bon larron dans l'ancien salon de réception du couvent de Santa Isabel de Los Reyes, à Tolède.
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Vierge de Beien. (Egiise Saint-Dominique, à Malaga.) Vierge de la Soledad. (Egiise Saint-Paul, à Malaga.)
DEUX SCULPTURES DE MENA DISPARUES DANS L'INCENDIE DES ÉGLISES
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Christ de la " Buena Muerte », œuvre de Mena, qui fut brûlé. (Egiise Saint-Dominique, à Malaga.)
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Adoration des mages, école espagnole du XVIesiècle. (Musée provincial
de Tolède.) — Des rayures reproduisent les lettres F. A. I. (Fédération anarchiste ibérique) et C. N. T. (Confédération nationale du travail). |
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" La Vierge de douleur" avant sa destruction. — Fragment du tableau
de Van der Weyden reproduit au-dessus et dont le visage fut
volontairement lacéré.
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Seul fragment subsistant d'un retable de l'école andalouse du XVIe siècle.
Ce panneau servit de cible, tandis que le reste fut détruit à coups de hache et brûlé.
(Ermitage de « La Salud », à Posadas, province de Cordoue.)
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Fragment d'un tableau de l'école italienne du XVe siècle, peint sur ardoise.
Cette belle œuvre fut jetée violemment sur le sol et se brisa.
(Eglise paroissiale de Montemayor.)
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Saint 'viícne
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L'Epiphanie, par un maître de l'école sévillane.
FRAGMENTS DE TABLEAUX DÉTRUITS DANS L'ERMITAGE DE « LA SALUD», A POSADAS (province de Cordoue). |
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Résurrection.
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La Madeleine. — Tableau du Greco qui disparut dans les flammes.
(Eglise de la Madeleine, à Cortegana, province de Hueiva.) |
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Portrait du cardinal Tavera. — Peinture du Greco lacérée à coups
de couteau. (Hôpital de Tavera, à Tolède.) |
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L'adoration des rois mages (détails).
(Ermitage de « La Salud », à Posadas, province de Cordoue.) |
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Le triomphe de saint Dominiqu
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Tableau de l'écoie séviilane qui fut en partie découpé
(Hôpital Sainte-Croix de Tolède.) |
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Fragment d'un retable du XV!' siècle dont ia plus grande partie fut jetée au feu.
(Ermitage de « La Salud ». a Posadas, province de Cordoue.s |
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Portrait de Christophe Colomb,
(Monastère de La Robida, province de Huelva.) |
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L'apparition de la Vierge à saint Ignace de Loyola.
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Saint en pri
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ere.
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La descente du Saint-Esprit. Philippe III et sa mère.
LES PEINTURES LACÉRÉES DE L'HÔPITAL DE LA SAINTE-CROIX. A TOLÈDE
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'incendie de l'église.
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Sculpture de Mena disparue dans
(Eglise des Martyrs, à Malaga.) |
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La Vierge aux larmes.
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Tabernacle d'argent. (Eglise Saint-Michel,
à Moron de la Frontera, province de Seville.) |
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Vierge des douleurs.
(Eglise Sainte-Cécile, à Ronda, province de Malaga.) |
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Ecole sévillane du XVIIe siècle,
à Loja, province de Grenade.) |
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Sculpture de l'école sévillane.
(Eglise Sainte-Cécile, à Ronda, province de' Malaga.) |
Vierge du Carmel. —
(Eglise Saint-Gabriel |
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QUATRE ŒUVRES DISPARUES AU COURS D'INCENDIES VOLONTAIRES
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Une des merveilles de l'église Sainte-Léocadie de Tolède, avant et après sa mutilation : ostensoir d'argent doré enrichi de pierreries
et connu sous le nom de « Soleil d'Oran ». On remarque que les pierreries ont été arrachées. |
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Couronnes arrachées aux statues et abandonnées en raison de leur poids.
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Ce qui reste de la grande custode d'argent reproduite ci-contre.
(Eglise Sainte-Marie, à Baena.) |
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Une des plus grandes custodes d'argent du XVIIIe siècle
avant sa destruction. (Eglise Sainte-Marie, à Baena,
province de Cordoue.)
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Pièces d'orfèvrerie des XVIe et XVIIe siècles,
retrouvées dans les tranchées. (Palais episcopal, de Cordoue.) |
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Ciboire et ostensoir des XVIIe et XVlll'- siècles, retrouvés dans les tranchées au moment de la prise d'Espejo.
(Palais episcopal de Cordoue.)
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Vestiges d'un chemin de croix dont toutes les statues ont été enlevées et retrouvées brûlées dans les tranchées.
(Piedralaves, province d'Avila.)
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Comment fut utilisé le décor en faïence du palais episcopal de Malaga...
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Ce qui reste de l'église gothique d'Almendralejo transformée en garage.
(Province de Badajoz.) |
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La cathédrale de Siguenza qui fut saccagée volontairement
et transformée en forteresse. (Province de Guadalajara.) |
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Une belle œuvre du XVIe siècle avant sa destruction : l'église d'Almendralejo. (Province de Badajoz.)
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La chapelle du couvent de la Conception de Tolède, avant le pillage.
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Un curieux autel de style baroque dont toutes les statues manquent.
(Couvent de la Conception, à Tolède.) |
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L'université de Deusto (Bilbao) saccagée. Elle avait été minée à la
dynamite et ne fut sauvée que par la brusque avance des troupes nationalistes.
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Restes de la grande custode d'argent de l'église de l'Assomption,
à Aracena. (Province de Huelva.) |
Le tabernacle de Baena, œuvre maîtresse de l'orfèvrerie espagnole
et qui mesurait 2 mètres de haut. (Province de Cordoue.) |
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Le trésor de l'église des jésuites à Santander.
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La Vierge des angoisses détruite au cours de l'incendie de l'église des carmélites, à Ronda,
(Province de Malaga.)
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Maître-autel en bois sculpté et doré dont les statues et le tabernacle furent détruits à coups de hache.
(Couvent Saint-François, à Moguer, province de Huelva.) |
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La sacristie de la cathédrale de Siguenza. (Province de Guadalajara.'
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Le monument au Sacré-Cœur qui se dressait aux environs d'Antequera, près de Seville, et qui fut détruit à la dynamite.
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Eglise Sainte-Marie, à Veiez-Malaga. Les statues,' du XVe siècle, et les autels ont disparu.
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Eglise de la Conception, à Huelva. Cet édifice, qui comprenait
quatorze autels, a été volontairement incendié. |
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Le couvent Saint-François, à Velez-Malaga, (Province de Malaga.)
Les autels et les statues furent arrachés pour être brûlés dans la rue. |
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Deux aspects de l'église Saint-Sébastien, à Alcalá de Guadaira. (Province de Seville.)
Construit au XVIIIe siècle, cet édifice comprenait trois nefs et contenait de nombreuses œuvres d'art qui ont disparu. |
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Les trois nefs de l'église Saint-Sébastien, à Alcalá de Guadaira. (Province de Seville.)
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Eglise volontairement incendiée, à Las Arenas (près de Bilbao).
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Etat actuel de l'église de Baena.
(Province de Cordoue.) |
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L'église gothique d'Usagre. (Province de Badajoz.)
L'autel et les statues furent saccagés. |
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L'église Saint-Barthélémy, à Espejo. (Province de Cordoue.)
Toutes les statues, chefs-d'œuvre du XVe siècle,
et une partie des autels ont été arrachés.
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Couvent Saint-Augustin, à Cordoue, dont le maître-autel fut incendié.
Le reste de l'église fut miraculeusement sauvé. |
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Le couvent Saint-Jean-de-la-Pénitence, à Tolède, avant sa destruction systématique.
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Ce qui reste du couvent Saint-Jean-de-la-Pénitence après l'incendie.
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Dans l'église Saint-Michel de Tolède : le grand autel, après avoir été dévasté, est tragiquement orné des restes des tombeaux.
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